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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 19:00

 

Créée par Darlene Hunt (2009)

Avec Laura Linney, Oliver Platt …

Statut : Production achetée – 4 saisons

 

Synopsis : Cathy Jamison, une mère de famille tout ce qu'il y a de plus normale, professeur dans un lycée, apprend qu'elle est atteinte d'un cancer en phase terminale. Il ne lui reste plus qu'un an à vivre et elle compte bien en profiter pour devenir celle qu'a toujours voulu être, ou celle qu'elle a été mais qu'elle a perdu sur son trajet...

 

Allociné Note Spectateurs : 3.9/5 (571 notes)

 

 

Ma critique :

 

Je rédige ce petit article pour vous faire part de mon immense affection pour la série « The Big C ».

La saison 3 est dans la continuité des deux autres saisons. On suit le combat de Cathy contre le cancer. Ne lisez cet article que si vous avez vu les trois saisons et que vous avez une idée sur la manière dont va se terminer la série…

Cathy dans cette saison fait des progrès dans le combat qu’elle mène contre sa maladie. Le traitement expérimental s’avère plutôt efficace et on a envie de croire que cette fatalité pourrait s’évaporer… Pourtant, cette saison ne sera pas de tout repos pour Cathy puisqu’elle va perdre beaucoup de choses auxquelles elle tient. Ses relations avec son fils et son mari vont s’effriter et elle va perdre l’espoir d’avoir un bébé. Finalement, sa soif de vivre va s’avérer destructrice. Pourtant, malgré ces événements dramatiques, Cathy va se battre encore et encore et va garder l’espoir et la joie de vivre. Cette série qui touche un sujet extrêmement triste apporte un vrai bien-être et cela fait un bien fou.

De bonnes idées encore et toujours : l’immersion de son fils dans la religion afin de garder un lien éternel avec Cathy, la nouvelle carrière de Paul, le besoin de se retrouver ses origines d’Andréa ou encore les nouveaux hobbys de Sean…

Le dernier épisode de la saison est toujours marquant et particulièrement réussi avec pour cette saison l’expression du besoin d’évasion de Cathy.

Laura Linney est comme toujours sublime, touchante et j’avoue ressentir une appréhension à regarder la dernière saison car je me doute fortement du sort qui sera réservé à Cathy. Même si, au vu de la manière dont la réalisatrice (elle-même touchée par la maladie) relate le destin de Cathy, cela sera surement encore une fois proche du génie.

 

Une saison 3 dans la continuité de la série qui réunit : force, émotions, justesse et fraicheur et cela avec une maitrise absolue. Cette série est décidément un vrai coup de cœur.

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5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 11:04

 

Date de sortie : 24 septembre 2014

Réalisé par Jeanne Herry

Avec Sandrine Kiberlain, Laurent Lafitte…

 

Synopsis : Muriel est esthéticienne. Elle est bavarde, un peu menteuse, elle aime raconter des histoires souvent farfelues. Depuis 20 ans, Muriel est aussi la première fan du chanteur à succès Vincent Lacroix. Avec ses chansons et ses concerts, il occupe presque toute sa vie.
Lorsqu'une nuit Vincent, son idole, sonne à la porte de Muriel, sa vie bascule. Elle est entrainée dans une histoire qu’elle n’aurait pas osé inventer.

 

Allociné note presse : 3,7/5 ; Allociné note spectateurs : 3,8/5 (887 notes)

 

 

Ma critique :

 

Une des bonnes surprises de la rentrée est la bonne vitalité du cinéma français. En témoignent ces films venus d’un peu ailleurs comme « Les combattants » et « Hypocrate ». « Elle l’adore » peut être admise dans cette cheek-list. Le point commun est ce que ce sont des premiers films et même de très bons films  (le genre à graviter autour d’un top 10), avec des sujets originaux, un traitement original et une certaine audace.

« Les combattants » ose s’attarder d’une façon juste sur deux jeunes comme dans la série « Skins », « Hypocrate » ose la « déglamourisation » du milieu médical et « elle l’adore » se penche sur la relation ambigüe et irrationnelle du  fan et de l’idole.

La grande qualité du film est son scénario d’une très grande intelligence et de précision et là, par rapport à pas mal de films, on voit que cela a été très mais très travaillé.

 J’ai eu la même impression que lors de la lecture des albums de Jerôme K. Jerôme Bloche, une sorte de thriller du quotidien avec des personnes « ordinaires ». La bonne surprise pour moi, car d’autres le savaient depuis longtemps, est l’actrice tout juste auréolée de son César, Sandrine Kiberlain. Elle est géniale d’ambiguïté, de trouble et de malice et pendant toute la durée du film, on se pose cette fameuse question « Qu’est ce qui se passe dans la tête de Sandrine Kiberlain ? ». Je pense que peu d’actrices aurait pu aussi bien mener sa barque lors des scènes d’interrogatoires.  

La dialectique fan/ idole est magnifiquement maitrisée dans ces rapports de force, d’attraction, de répulsion et même de vampirisation.

 

Un film de plus qui nous rend (encore plus) amoureux du cinéma français pour cette deuxième partie de l’année 2014.

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28 septembre 2014 7 28 /09 /septembre /2014 17:37

 

Quand Blue Beetle, membre de la défunte Ligue de Justice Internationale, enquête sur la mise en faillite de sa compagnie, il découvre un complot visant à annihiler toute la population méta-humaine de la planète. Pire, ce projet OMAC risque de porter un coup fatal aux liens unissant Superman, Wonder Woman et Batman, et de se répercuter sur l’ensemble des justiciers.

 

Ma critique :

 

Infinite Crisis est une des grandes sagas dans l’univers DC Comics qui a aujourd’hui presque 10 ans et qui sort enfin dans une belle édition grâce à nos amis d’Urban Comics. L’univers de Dc comics est aussi riche que complexe et il y a peu, je ne connaissais ce cycle que de réputation car je viens de terminer il y a encore 2 mois la saga « Brightest day » qui est postérieur à « Infinite crisis ».

Aujourd’hui, l’univers DC comics ne me fait plus peur et je l’apprécie d’autant plus en étant balayé de tous préjugés comme la place du surhomme Batman dans cette team de (demi)dieux.

Ce cycle se veut ambitieux (comme tout cycle qui aime à nous rappeler que plus rien ne sera comme avant). Ce tome comprend 300 pages et est programmé pour 4 tomes.

C’est aussi un cycle qui se rapproche assez bien de la pierre de rosette des nouveaux comics : « Watchmens ».

C’est par l’annonce de l’assassinat d’un super héros qu’une machination menaçante va voir le jour et provoquer un schisme chez les super héros.

A cela s’ajoute un des thèmes de l’ère Bush , propre à la politique du « Patriot act », où l’on voit un Batman au sommet de sa paranoïa construisant  « l’Œil », un « Big Brother 2.0 » pour ses « partenaires » qui sera détourné… .

S'il fallait encore le prouver, les comics ont toujours fait écho à leur époque, ce n’est pas un hasard que « Watchmens » fait référence au trouble de la guerre froide et qu’ «Infinite crisis » à celui des néoconservateurs.

On y croise pas mal de seconds couteaux pour la plupart inconnus pour moi comme Blue Beetle, Booster Gold, Fire, Sasha Bordeaux, Max Lord et Green Lantern III dont ce dernier a la meilleur réplique adressée à Wonder Woman « C’est vrai que t’as un corps à se damner, j’avoue que je pourrais te mater pendant des heures… ».

Le bémol de ce premier tome sont les dessins qui sont assez inégaux entre les chapitres mais c’est le propre de toute grande saga.

 

Œuvre révérence d’un des grands thèmes des comics de super héros : la paranoïa.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 18:20

 

Peu après la conquête de l’Egypte, sur les rives du Nil, une centurie romaine découvre une embarcation à la dérive. A son bord, les promesses d’une civilisation riche et puissante, restée jusqu’ alors inconnue de Rome. Sous le commandement de Marcus Livius, dix légionnaires s’engagent au cœur de l’Afrique noire, dans une fabuleuse expédition à la recherche d’un empire mystérieux…

 

Ma critique :

 

A peine le premier tome terminé, qu’il m’a fallut que quelques jours pour m’acheter le deuxième et surtout le dévorer. Certes, le seul défaut  principal du premier tome est toujours là, cette uniformisation des faciès des protagonistes, mais à côté de cela le scénario monte d’un cran pour notre plus grand plaisir.

Les seconds rôles sont valorisés comme Tiberius et Dubaku (un autochtone plein de sagesse qui arrive à parler la langue de l’envahisseur très rapidement)  et bien sur le doute tenaille la bande dans ce voyage en enfer.

On peut y voir une forme d’ironie dans cette histoire des civilisations, où l’on assiste à une ingérence qui tourne mal. En effet, l’envahisseur se retrouve en plein milieu d’un conflit  «interne » entre 2 tribus et devient alors … esclave. Pour survivre pas d’autres choix que devenir l’ennemi d’Etat de leur propre empire, c'est-à-dire un Spartacus.

Au niveau rythme rien à redire, c’est très très bon, voir ces personnages perdus dans une civilisation, une culture des plus mystiques est vraiment captivant.

Des « esprits maléfiques » semblent se mêler aux hommes et les scènes où apparaissent les « umuzimu » sont très réussies. Ce qui m’avait plu dans la quête du héros Marcus dans le fait qui est amoureux d’une reine inconnue d’un pays lointain me comble de joie dans ce second volume. Maintenant le plus dur arrive amis lecteurs, l’attente du troisième tome.

 

Un second volume aussi réussi que la saison 1 de la série Spartacus  «Blood and Sand ». Il n’y a pas à dire le péplum en huis clos a de beaux jours.

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 18:53

 

Peu après la conquête de l’Egypte, sur les rives du Nil, une centurie romaine découvre une embarcation à la dérive. A son bord, les promesses d’une civilisation riche et puissante, restée jusqu’ alors inconnue de Rome. Sous le commandement de Marcus Livius, dix légionnaires s’engagent au cœur de l’Afrique noire, dans une fabuleuse expédition à la recherche d’un empire mystérieux…

 

Ma critique :

 

Le tome 2 est fortement mis en valeur actuellement dans les librairies car fraichement sorti, et comme j’avais fait l’impasse du premier tome et que je suis toujours friand de péplum non crypto gay, je suis entré à bord de cette expédition.

L’action se passe au crépuscule de l’Empire romain, car  même en territoire conquis sur l’Egypte, l’élite romaine prie les dieux….. égyptiens. Cette expédition est d’ores et déjà maudite car il semblerait qu’il n’existe qu’un seul survivant sur les 10 mercenaires envoyés en terre lointaine, bref une bérézina avant l’heure.

L’Histoire reproduit son écho pour les empires voulant toujours aller plus loin en unifiant différentes cultures, comme ce fut le cas pour celui d’Alexandre le Grand.

Cette chute fatale prend la forme de cette fameuse expédition composée de mercenaires digne des « expendables » (mais avec 30 ans de moins), avec des joutes verbales de l' époque, car même s'il y a un grec hétéro, il a quand même droit aux vannes homophobes.

Il est original d’y voir un péplum s’orienter vers le survival. Certes, on n’atteindra pas les sommets mystiques du film « Valhalla Rising, le guerrier des ténèbres », mais le fun est bien là.

Un autre bon point, c’est la « mythologie » autour du héros Marcus Luvius , qui est le lion de Nubile, personnage romantique qui pense trouver au bout de sa quête une « reine » à la beauté incomparable et ce qui le rend encore plus intéressant c’est que ce n’est pas sa première quête de ce genre.

Le petit bémol de ce premier album, c’est le dessin représentant le facies des personnages dont il n’est pas toujours simple de les différencier.

 

Le péplum évolue et surtout assure dans la bande dessinée franco belge qui nous permet de prolonger les plaisirs de « Murena » et  « les aigles de Rome ».

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6 septembre 2014 6 06 /09 /septembre /2014 19:12

 

-Qu’est ce que tu fais avec ce fauteuil Babette ?

-Je bloque la porte.

Je ne tiens pas à me faire trucider pendant mon sommeil par un repris de justice.

-Voyons, Babette !

Tu ne crois pas que tu exagères un peu ?

-Ah oui ? Eh bien, va voir à la fenêtre et ose dire encore que j’exagère !

-Ben quoi ? C’est pas un crime de bêcher son jardin ! Même si c’est une drôle d’heure pour faire ça.

- Mais tu ne comprends pas Jérôme ! C’EST NOS TOMBES QU’IL CREUSE !

 

Ma critique :

 

C’est toujours avec une certaine anxiété que j'achète et lis une bd du catalogue Dupuis, car depuis quelques années, leur moteur est clairement la bd à papa.

Une des séries qui à toujours su résister à ce nivellement par le bas artistique, c’est Jérôme K.Jérôme Bloche de Dodier.

Une fois de plus, on retrouve tout le plaisir de cette série jusqu’à ses détails : un polar du quotidien, une intrigue intemporelle et populaire et son amour des bistrots.

Ce qui est marrant quand on suit un auteur depuis plusieurs années, c'est que l'on peut capter ce qu’il l’a influencé dernièrement et tout porte croire que Dodier est un amateur de séries télés. Le lieu de l’action se déroule pas trop loin de Grenoble, comme dans la série « les revenants », d’ailleurs la dernière case de la page 18 ressemble une scène clé de la première saison.

La particularité de cet album est son scénario et son audace pour une bd franco belge, car on ose effectuer des interactions entre le flashback de l’intrigue principale et le présent dans le travail d’enquête de notre héros. Le résultat dans ce procédé est aussi réussi que la série « Lost » ou récemment « Arrow ».

Lors d’une séance de dédicace à la sortie du tome 22, j’ai eu la chance de rencontrer Dodier et il m’a confié passer près d’un an à l’élaboration du scénario, et ça se voit. C'est précis, bien rythmé, sans temps mort, on y voit l’expérience du « maitre ».

On pourra toujours reprocher la psychologie des personnages comme celle du héros et de Babette en la trouvant banale ou ordinaire, mais on est agréablement surpris par une once de complexité touchante à chaque histoire.

 

La série reste véritablement la force tranquille de chez Dupuis et de loin.

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6 septembre 2014 6 06 /09 /septembre /2014 15:08

 

Créée par Gabe Sachs, Jeff Judah, Rob Thomas (2008)

Avec Shenae Grimes, Jessica Stroup …

Statut : Série annulée au bout de 5 saisons

 

Synopsis : L'arrivée à Beverly Hills d'une famille avec deux enfants du même âge, un garçon et une fille. Le père, Harry Wilson, est un ancien élève du lycée de Beverly Hills. Il s'était installé à St Louis après avoir obtenu son diplôme. Le voilà forcé de revenir en ville lorsque sa mère, une actrice sur le retour, sombre dans l'alcool. Il est accompagné de son épouse, Debbie, une ancienne médaillée Olympique, leur fille Annie, ainsi que leur fils adoptif Dixon. Les deux adolescents doivent s'intégrer dans leur nouvel environnement et s'y faire des amis...

 

Allociné Note Spectateurs : 3.0/5 (6325 notes)

 

 

Ma critique :

 

J’ai terminé cet été la série « 90210 » en visionnant la cinquième et dernière saison. 

Cette série aura été globalement satisfaisante avec des points positifs et d’autres plus négatifs.

La force de la série se trouve dans ses acteurs : frais, modernes et plutôt talentueux pour la plupart. Je retiens en particulier le jeu d'Annalunne Mc Cord (Naomi) qui a porté sur ses épaules les dernières saisons de la série. Celle qui s’est faite découvrir dans la série « Nip Tuck » a déjà apparemment trouvé un rôle récurent dans la saison 3 de la série « Dallas ».

Shenae Grimes (Annie) ou Jessica Stroup (Erin) ont également apporté beaucoup de fraicheur à la série. D’autres acteurs n’ont malheureusement pas autant de talent, je pense à Matt Lanter (Liam) ou encore Jessica Lowndes (Adrianna) qui n’avaient qu’une seule et même expression tout au long de la série.

L’autre point positif de la série est que le rythme était régulier et les intrigues retenaient notre attention et nous permettaient de ne pas nous ennuyer.

Malheureusement, les éloges s’arrêtent ici. Le scénario n’a pas toujours suivi. Encore un problème majeur de ce type de série : beaucoup trop d’intrigues se mêlent les unes aux autres et au final on se pose rarement sur l’histoire d’un personnage. De bonnes idées dans la dernière saison : Annie qui écrit un « 50 nuances de Grey » ou encore Erin qui doit faire face à sa maladie. Mais au final, on ne s’attarde pas assez sur ces bonnes idées et c’est bien dommage.

 

Une série divertissante et moderne qui aurait mérité une vraie fin et non une annulation soudaine.

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25 août 2014 1 25 /08 /août /2014 05:00

 

Les Gardiens de la Galaxie veulent découvrir les raisons pour lesquelles la Terre est soudain devenue le centre d’intérêt de toute la Galaxie. Star-Lord, Gamora, Drax, Rocket Racoon, Groot et Iron Man mènent alors la mission la plus édifiante de leur carrière. Les secrets que vont mettre à jour ces Avengers galactiques vont bouleverser l’horizon des lecteurs Marvel.

Brian M.Bendis (Avengers, Ultimate Spider-man) entraîne les Gardiens de la Galaxie dans une nouvelle ère, mise en image par Steve Mc Niven et Sara Pichelli.

 

Ma critique :

 

Un des événements de cet été est sans conteste la sortie au cinéma du nouveau film des studios Marvel : les Gardiens de la Galaxie. La particularité est que pernonne n'attendait ce film étant donné que personne n’avait jusqu’alors entendu parler de cette licence en France.

Il a suffit de la première bande annonce pour que la demande se créée et c’est l’éditeur panini comics qui balance la première slave dans sa nouvelle collection « Marvel Now ».

Au programme, 3 épisodes (j’avoue c’est peu) accompagnés de petites histoires annexes se concentrant sur chacun des protagonistes. Rien à dire sur le travail de l’éditeur, c’est du plaisir avec de très bonnes pages de bonus, on se concentre alors sur le fond. Et là on a vraiment du lourd Briand M.Bendis et Steve Mc Niven (Old man Logan) et puis pour ceux qui sont un peu perdu, Iron man est dans le coin.

Avec une telle équipe, l’attente est alors immense et c’est vrai que l’on en demande beaucoup, mais il ne faut pas oublier que c’est une licence très jeune et cela se voit dans le bon et le mauvais sens du terme.

L’équipe est juste démente, composée de pas mal de personnage badass dont un raton laveur (l’idée de l’année ???) , une ambition de dingue, car le but de cette licence est d’être le nœud de connexion de tout l’univers Marvel.

Là où le pari est réussi, c’est que c’est vraiment l’idéal geek, un mix entre Star Wars et Star trek à la sauce Marvel. Le léger bémol est son héros qui a moins de charisme que chacun des membres de son équipe, en même temps sa mythologie est encore légère, on a droit au bon vieux conflit paternel de soap opera  (comme Luke Skywalker et Dark Vador).

Mais comme j’ai dis précédemment  on en demande trop pour ce premier tome, car de toute façon on a envie de connaitre la suite et surtout de voir le film. Et en plus l’héroïne, Gamora est très sexy.

 

Une licence qui s’annonce avec un univers infiniment riche, il n’y a pas à dire Marvel fait très fort.

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24 août 2014 7 24 /08 /août /2014 09:57

 

Bien décidé à contrecarrer les desseins démoniaques de la Princesse Aryabhata , Seigi multiplie les entrainements, s’initiant aux arcanes de l’annihilateur, sous la houlette du brâhmane renégat BB. De son côté l’armée américaine, alertée de la mainmise imminente du Royaume sur la quatrième ruine et les glyphes qu’elle recèle, décide de lancer une opération commando. C’est sous le commandement du général Sanders que la totalité des unités glyphées présentes sur l’archipel, auxquelles s’est joint Seigi s’apprêtent à croiser le fer. Devant eux, brâhmanes, Kâl Sherkal au glyphe dévastateur. Le Combat s’engage ailleurs… .

 

Ma critique :

 

Un des éditeurs de manga qui apporte réellement du sang nouveau, c’est « Doki doki », après le percutant « Sun ken rock » et le rigolo « Cimoc » voilà un shônen nouvelle génération « Taboo Tattoo ».

Je dis volontairement nouvelle génération, car le père spirituel n’est plus Akira Toriyama avec « Dragon ball », mais on se rapproche plus d'œuvres comme « Enfer et paradis » et « Hunter x hunter ».

Par exemple, Seigi le héros n’est pas prédominant dans la série contrairement aux shonen des années 90, tout comme « Hunter x hunter », il est très loin d’être le plus fort de la bande. On pouvait voir la même audace au niveau vidéo ludique avec le très réussi « Final Fantasy XII ». Malgré toutes les références citées, c’est vraiment à partir de ce quatrième tome que j’apprécie la série et je dirais même que je la comprends réellement.

Après, je précise que le pouvoir principal de cette série, les glyphes, me reste toujours obscur, mais les personnages commencent à tenir leur promesses comme BB et le lieutenant Flusie, qui rappellten beaucoup Misato et Ryouji…. du manga « Evangelion ».

Le méchant est une…. méchante, la  Princesse Aryabhata c’est aussi assez original pour un shônen et elle nous montre l’étendue de son ambition et de son cynisme.

Au fil des tomes, la série gagne en intérêt pour notre plus grand plaisir.

 

Une nouvelle série qui monte en puissance en se montrant des plus singulières.

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24 août 2014 7 24 /08 /août /2014 08:42

 

Editeur : POCKET ; Editions : POCKET (21 octobre 2011)

Collection : Pocket

Format : Ebook  (177 pages)

 

Ma critique :

 

La lecture de « Terminus Elicius » de Karine Giebel m’a laissé un goût de déception.
Pourtant, c’est un bon thriller au scénario original et bien écrit.

Il faut dire aussi que Karine Giebel m’avait totalement bluffée avec ces romans « Juste une ombre » et « Les morsures de l’ombre ». Ces deux romans étaient excellents alors forcément la comparaison peut être douloureuse.

 « Terminus Elicius » narre l’histoire d’une jeune femme à l’apparence banale qui travaille en tant que secrétaire dans un poste de police. Cette jeune femme timide et souffrant de quelques troubles psychologiques va se retrouver mêler à une série de meurtres particulièrement sordides et va devoir choisir entre raison et folie amoureuse.

Je ne suis pas entrée dans « Terminus Elicius » comme dans les deux romans cités au-dessus. Je n’ai malheureusement pas retrouvé le même appétit de lecture et le même suspens.

Le personnage de Jeanne est bien écrit et la correspondance qu’elle entretient avec le criminel est intéressante et bien amenée mais cette dernière n'est pas assez captivante.

Le roman comporte tout de même bien les qualités d’auteur de Karine Giebel.

On le lit rapidement et cette histoire reste en mémoire après lecture. De plus, comme tout roman de cette auteure, nous avons le droit à un beau rebondissement en fin d'histoire...

 

« Terminus Elicius » est un roman de Karine Giebel honorable mais de qualité inférieure selon moi en comparaison d'autres de ses titres.

 

Extrait du roman :

 

Elle se pencha pour attraper son sac et y récupéra son roman policier. Elle aimait les polars, américains de préférence. Parce qu’il y a le dépaysement en plus.

Mais, soudain, elle remarqua quelque chose d’inhabituel : un morceau de papier avait glissé à côté de son siège. Elle l’attrapa et constata qu’il s’agissait d’une enveloppe blanche. En la retournant, elle reste stupéfaite de voir son prénom inscrit dessus. Un message pour elle. A moins que ça ne soit pour une autre Jeanne ? Non, ridicule ! Elle était sans doute la seule Jeanne à s’assoir toujours à la même place, dans le même train.

Elle demeura perplexe de longues minutes, redoutant un piège. Elle avait posé la missive sur ses genoux et la regardait sans faire le moindre mouvement.

Puis, enfin, elle se décida.

Elle l’ouvrit et découvrit une lettre manuscrite, écrite à l’encre noire. Une calligraphie ronde et appliquée.  

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