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7 août 2013 3 07 /08 /août /2013 14:24

 

Dans les bas-fonds de Gotham, une guerre fait rage. Pénétrez au cœur d’un conflit mêlant les plus grands esprits criminels de la ville : le Joker, le Pingoin, Double-face… . A l’aide d’un arsenal ultrasophistiqué et d’alliés inattendus, ramenez l’ordre dans cette zone de non droit où prospère le crime.

 

 

Ma critique :

 

A l’heure où tout le monde attend pour la fin de l’année le troisième volet de cette grande licence de Batman, je viens tout juste de terminer ce second volet.

Inutile de préciser que le jeu, comme le précédent, est une petite merveille qui fait partie des grands jeux de la ps3.

Je vais plutôt m’exprimer sur les sensations que le jeu m’a procurées. Le premier opus avait quelques méchants à corriger hormis le Joker comme l’Epouvantail, Poison Ivy, Killer Croc… et pour cette suite directe, c’est simple ils y sont tous. J’ai trouvé le Pingouin très réussi, la bonne surprise est venue contre toute attente de Mr Freeze en freak ultime. Personnage ayant une psychologie très proche du Dr Octopus dans Spiderman, le bad guy romantique qui nous cause bien des soucis mais agit toujours sous le leitmotiv de sa bien aimée. Et même des méchants assez inconnus pour moi comme le Dr Strange, le Chapelier fou ou encore Deadshoot ajoute un plus à l’aventure avec leur charisme indéniable. J’oubliais il y a également la très bonne partie avec Ra’s an gul et sa fille Talia qui comme les films de Nolan sont très bien utilisés.

La grosse nouveauté est que l’action ne se passe plus à l’asile d’Arkham mais en plein Gotham city. Après ce n’est pas exactement un jeu mapworld façon GTA, il reste dans le même défi technique du premier jeu avec des endroits montrant leur spécificité.

Le jeu conserve le même degré de difficulté que le précédent et se trouve être d’une très grande générosité surtout au niveau de la baston. Avec le très bon enchainement entre les divers personnages, les bonnes incursions de nos alliés, on est vraiment dans l’âme de ce superbe univers.

Une des bonnes idées a été de donner un second souffle au Joker en le faisant malade, sa folie et son humour à double sens prennent alors une autre dimension. Cette dégénérescence de la némesis du chevalier noir va lui être contagieuse, et on aura donc droit à un batman qui souffrira beaucoup, ce qui rend alors l’expérience très épique.

Au niveau de la fin du jeu, une fois de plus, j’ai été surpris que les concepteurs tout comme ceux de « GTA 4 » ou de « Red dead redemption » nous propose une fin ambiguë, trouble à l’image de la chanson « Only You », interprétée par un des personnages du jeu, instantanément culte que l’on retrouve très facilement sur le net.

 

Une aventure qui a l’ambition d’être l’ultime aventure de cette génération de console, en attendant la prochaine qui sera un préquel.

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23 septembre 2012 7 23 /09 /septembre /2012 14:44

http://pforlio.p.f.pic.centerblog.net/o/43841a5c.jpg

 

Vito Scaletta est connu et apprécié dans les rues d’Empire Bay pour mener à bien les missions que l’on lui confie. Avec son pote Joe, tous les deux infiltrés dans la Mafia, il doit faire ses preuves rapidement pour gravir les échelons de l’organisation. Crimes, réussites, déboires… la vie d’un affranchi n’est pas aussi facile qu’on pourrait croire !

 

http://www.play3-live.com/screens/mafia-2/ps3_mafia-2_1211712413_4.jpg


Ma critiquehttp://pownaruto.p.o.pic.centerblog.net/93ueotfl.pnghttp://pownaruto.p.o.pic.centerblog.net/93ueotfl.pnghttp://pownaruto.p.o.pic.centerblog.net/93ueotfl.pnghttp://pownaruto.p.o.pic.centerblog.net/93ueotfl.png

 

Les films sur la Mafia sont devenus rares, après tout, dur de détrôner des références comme « Le Parrain » ou encore « Il était une fois en Amérique », mais on peut désormais se rabattre sur les jeux vidéo comme Mafia II. En effet, même si « Rockstar » est devenu le boss dans les jeux catégories « mapworld » il s’est concentré sur le genre gangster d’aujourd’hui avec les « GTA » ou les prémices du genre avec « Read dead redemption », donc l’âge d’or n’a pas encore trouvé grâce à leurs yeux, ce qui est tout l’inverse pour le studio « 2Kgames ».

Pour eux, l’objectif est de restituer l’ambiance de cette époque d’après guerre jusqu’à l’aube des années 60, il faut reconnaitre que ce travail ambitieux et original a tenu tous ses objectifs : décors, ambiance, musique…

Ce qui frappe surtout dans ce jeu, contrairement à tous les autres qui veulent assurer aux joueurs un max de liberté et d’opportunités, c’est qu’il est très linéaire. On suit sur des rails un scénario bien écrit composé de quinze chapitres avec de nombreux rebondissements. Même si on conserve les différentes voitures que l’on peut posséder, coté maisons, fringues, il ne faudra pas trop s’attacher, car par moment on perdra tout. Par exemple on devra faire un petit tour en prison où l’on devra se battre pour éviter d’être le gars qui ramasse le savon lors des douches collectives. Et oui le jeu ose aller jusque là (sans rentrer dans le vulgaire), il est clairement destiné à un public adulte (ce qui me fait très plaisir), au niveau complexité psychologique des personnages, des intrigues et du très bon humour (souvent noir).

Il y a pas mal d’anecdotes sur la grande Histoire de la Mafia, une bonne incursion sur les codes du genre au fil de l’ascension du héros sans oublier une réflexion morale car, comme pour Read Dead Redemption, la fin du jeu est ambigüe.


Certes « Mafia II » n’a pas les éloges d’un blockbuster de Rockstar, néanmoins il offre un gameplay très réussi et une ambiance unique qui fait qu’il restera dans les mémoires de tout bon gamer. 

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25 février 2012 6 25 /02 /février /2012 17:05

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L’histoire : Lorsque des agents fédéraux menacent de s’en prendre à sa famille. John Marston, ancien hors-la-loi notaire, se voit contraint de reprendre les armes pour traquer ses anciens frères d’armes. Prenez part à un combat épique pour votre survie à travers l’Ouest américain et le Mexique, et suivez John Marston dans sa quête pour la rédemption.

 

http://image.jeuxvideo.com/images/x3/r/e/red-dead-redemption-xbox-360-009.jpg


Ma critique : http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.png


Avec le jeu « Red dead redemption », j’ai donc joué à mon deuxième jeu catégorie « Map world » et surtout à mon premier jeu Rockstar Games, le papa du genre « GTA-like » sur les consoles de nouvelle génération.

J’ai donc attendu qu’il soit à un tarif platinium pour m’aventurer dans ce grand jeu, et commençant à aimer à juste titre l’univers des Western depuis quelques années ce jeu est arrivé à un parfait timing. Dès les premières minutes du jeu on comprend tout de suite que le jeu va nous procurer des émotions qu’aucun jeu ne nous avait donné à ce jour. C’est un grand jeu d’ambiance, d’action, d’aventure que les tests vous confirmeront avec plus de justesse que moi, je vais donc m’attarder sur ma petite expérience en tant que gamer.

Au bout d’une trentaine minutes de jeu, on est littéralement un cow boy et le simple fait de galoper sur son cheval et d’y admirer les décors et tout simplement magique. J’ai adoré les quêtes annexes où l’on y rencontre tous les névrosés de l’ouest où tel un roliste, on aime leur donner un petit coup de main, les parties de chasse à l’homme, le dressage des chevaux sauvages et surtout les trips d’actions où avec une poignée de bons gars, on met en étant de nuire une sale bande : 100% fun.

Le seul petit bémol est le scénario. On est pris en otage par des agents fédéraux pour zigouiller d’anciens complices, et pendant 4/5 du jeu on se concentre que sur deux fugitifs. Et pour avoir des indices plus ou moins consistants on va devoir faire moult services à divers protagonistes et cela sans jugement de valeur et c’est le problème pour un jeu dont le thème est la rédemption. On pourra aider un scientifique affirmant des propos sur l’inégalité des races, un dictateur mexicain en mode Bachir et aussi aider des réfugiés à quitter le pays tel Vincent Lindon dans « Welcome », sans aucune remise en cause car le but du héros est de servir son intérêt, celui de retourner à sa ferme avec son épouse et son garçon.

Paradoxalement les dialogues et sa forme sont d’excellente facture avec une bonne dose d’humour et de réflexion. Ma mémoire de gamer cristallisera deux grands moments du jeu : la partie où John Marston arrive au Mexique. D’ailleurs, la musique du jeu laissera place à une chanson propre à l’ambiance. Et surtout l’épilogue qui renvoie au fondement du mythe de l’Amérique de l’époque.

 

Même si, au niveau du scénario on n’a pas l’impression d’être dans une tentative de rédemption mais plutôt que l’on se fait gentiment balader par tout le monde, Red dead redemption est une expérience unique qui a repoussé les limites du jeu vidéo et qui malgré le genre « gta-like » tant décrié commence à lui donner ses lettres de noblesse.

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12 décembre 2011 1 12 /12 /décembre /2011 21:14

 

 

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23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 20:40

 

 

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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 16:34

http://www.gamerama.fr/images/MGS4/mgs4jaque.jpg

 

L'histoire :

 

Un cocktail d’action et d’infiltration

Parcourez le globe et infiltrez de nouveaux champs de bataille encore plus dangereux en incarnant Solid Snake dans le chapitre final de sa vie légendaire. Faites équipe avec de vieilles connaissances et combattez des ennemis indéfectibles dans un monde ou la guerre conduite par des mercenaires et des machines n’est plus que pur business

Une expérience cinématique

Des images dignes des blockbusters américains, un son « surround » et une bande son incroyable qui repoussent les limites du jeu interactif. Soyez spectateur et acteur de cette aventure épique, aux graphismes haute-définition et à l’univers sonore époustouflant, qui vous fera voyager aux quatre coins du monde.

 

http://lu.playstation.com/media/99489/metalgearsolid4_hero.jpg

 

Ma critique : http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.png

 

Pour moi les « Metal Gear Solid » font parties des grandes sagas du jeu vidéo dont on ne peut faire l’impasse quand on est geek. J’ai commencé la série depuis le premier cycle sur la PS One et étant désormais armé de la Playstation 3, le 4ème volet a rapidement fait partie de mes nouvelles expériences haute définition.

Pour m’étaler sur les qualités du soft par la suite, j’aborde tout de suite son unique défaut à mes yeux, c’est d’ailleurs ce qui en fait sa richesse c’est que pour apprécier le jeu, il faut connaitre la série. Le novice ne pourra pas apprécier le jeu à cause de son scénario très complexe et bourré de références passées et comme la jaquette l’annonce, c’est le chapitre final, bref réservé aux convertis. Passons maintenant aux points positifs, Hideo Kojima confirme son statut de génie du simple fait de sa réalisation qui est tout simplement magistrale, il nous offre une fois de plus une leçon de cinéma et de gameplay. Cette fois-ci, comme pour le premier soft, on commande à 100% Solid Snake comme ce fut le cas pour le premier volet et comme un James bond il fera halte à divers endroits dans le monde.

Avec un énorme plaisir on retrouve les différents personnages de la série comme Otacon, Raiden (le kamikaze de l’année) la ravissante Naomi , Meryl et tous les autres y compris certains boss mémorables. Une fois de plus les boss sont excellents, les duels ultra fun et les affrontements sont aussi épiques que Shadow of Colossus.  Ces boss qui ont une apparence animale cachent en fait une très jolie fille aux formes pulpeuses dans des combinaisons moulantes mais surtout des âmes en souffrance. Finalement après le combat remporté, on a ce sentiment de léger malaise : est-ce que le combat en valait-il la peine ? Signe d’un grand jeu…

Le deuxième volet avait pour fil conducteur la passage de relais entre Snake et Raiden, le 3ème l’origine du héros sur fond de guerre froide, pour celui-ci, c’est le chant du cygne d’un vieux soldat, l’économie de guerre, l’ère numérique et c’est surtout  sur le thème de la fin d’une époque et le début d’une autre.


Il serait facile d’en parler, d’analyser pendant des heures ce chef d’œuvre mais comme des grands jeux (comme « Zelda : Phanthom Hourglass » «  Batman Arkham City) à sa fin (25 heures de jeu) on ressent un vide vidéo-ludique.

Un des grands jeux de la Playstation 3 qui ne sera jamais détrôné dans son genre.

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23 juillet 2011 6 23 /07 /juillet /2011 15:39

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11 juillet 2011 1 11 /07 /juillet /2011 16:02

http://img.jeuxvideopc.com/images/jeux_boites/grandformat/31251-final-fantasy-iv-ds.jpg

 

 

Lorsqu’un noble Chevalier noir de Baron est envoyé dans les paisibles royaumes bordant sa terre natale pour s’emparer de quatre puissants cristaux, un terrible dilemme se pose à lui....Doit-il renier ses idéaux ou trahison roi avide de pouvoir ?

La renaissance d’un des épisodes les plus appréciés de la saga FINAL FANTASY, avec des nouveaux graphismes en 3D sur deux écrans, des musiques brillamment remaniées, des séquences cinématiques entièrement doublées et des commandes utilisant pleinement le plein écran.

 

 

La DS a non seulement donné l’occasion, à nous joueurs, de jouer autrement avec le système de deux écrans et le style tactile. Mais, elle  a surtout contribué au rétro game et à la mode des remakes, Final Fantasy IV est la symbiose de tous ces éléments.

Après un agréable Final Fantasy III dont le scénario était très gentillet, cette fois-ci avec cet opus on amorce les premières traces de noirceur de cette saga. Cela reste des plus manichéen avec le classique combat entre le bien et le mal mais pour l’époque c’était nouveau car la fatalité le sacrifice, le dilemme, la mort (du pur Shakespeare en fait) y font leur premières armes.

Dans un esprit proche des Shonen de l’époque comme Saint Seiya et une difficulté assez élevée pour les gamers d’aujourd’hui, surtout au dernier « chapitre », ce jeu est une vraie réussite. Les personnages sont des clichés ambulants mai ils ont un tel charisme et capital sympathie que l’on est entrainé avec eux dans cette fresque épique old shool par rapport la direction des derniers jeux de la sage tendance space opera. Le remake est plus que justifié car certains jeux se doivent presque d’immortels.


Si tu es curieux sur l’histoire du jeu vidéo et que tu n’as pas peur des heures de leveling, alors preux chevalier, tu ne peux échapper à ton Destin qui s’appelle Final Fantasy IV !

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7 mai 2011 6 07 /05 /mai /2011 07:41

 

Plongez au cœur d’un univers où la folie règne en maître alors que le Joker met en œuvre son plan le plus machiavélique à ce jour ! Les criminels de l’asile d’Arkham ont été libérés et seul Batman peut mettre fin à ce chaos et reprendre le contrôle. Explorez les tréfonds de cette île mystérieuse, en découvrant l’aventure la plus sombre que Batman ait jamais vécue.

 

 

C’est un des premiers jeux que j’ai acheté sur ma ps3 et surtout qui m’a fait connaitre la génération HD des consoles. Après un poussif « yakuza 3 » dont l’univers m’attirait pourtant, pour quelques minutes j’essaye ce Batman, ces quelques minutes se sont transformées en des heures ; et en quelques petites semaines j’ai terminé ce jeu culte à mes yeux.

Autant Christopher Nolan a réalisé mon fantasme de geek de Batman au cinéma autant ce jeu l’a réalisé sur le plan vidéo ludique. On y a trouve un Batman des plus sombres malmené par un grand Joker au summum de sa démence.

Le point fort de ce jeu est sa déclaration d’amour pour Batman et pour le jeu vidéo. On y retrouve l’esprit Batman avec ses ennemis les plus cultes, certains seront juste mentionnés comme Catwoman, Mr Pingouin, Harvey Dent et d’autres seront bien présents dans le jeu comme l’Epouvantail, Croc et Poison Ivy, le tout agrémenté d’énigmes façon le Sphynx.

Tout en restant dans l’univers sombre de Gotham : son asile, son port, son manoir, ses égouts  le plaisir ludique est maintenu par des infos sur les différents personnages de cet univers. Pour la déclaration d’amour vidéo ludique elle devient plutôt le casse du siècle : l’intro où l’on conduit le Joker à l’asile est d’une totale immersion qui n’est pas s’en rappeler celle d’un « Half-life », et surtout que dire de ces parties de « cache-cache » avec les ennemis, des gadgets, et des ennemis plus charismatiques et similaires à un autre jeu CULTE « Metal Gear Solid ». Par exemple, l’épouvantail fait référence à un psycho mentis, Ivy à Sniper Wolf sauf que cette fois ci les duels ne sont pas de nature géopolitique mais psychologique et névrotique de l’âme humaine.

Concernant le  gameplay, il est tout simplement fantastique et il  propose des  moments de baston des plus jouissifs. Je pourrais en parler des heures faire l’autopsie niveau par niveau de cette bombe, mais le mieux est encore d’y jouer et surement d’y rejouer.

Plus qu’une seule hâte, attendre la sortie du deuxième volume qui se promet plus urbain on est en plein Gotham city et d’y retrouver d’autres « bad guy » comme Harvey Dent et une certaine Catwoman.

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 20:46
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