Bien décidé à contrecarrer les desseins démoniaques de la Princesse Aryabhata , Seigi multiplie les entrainements, s’initiant aux arcanes de l’annihilateur, sous la houlette du brâhmane renégat BB. De son côté l’armée américaine, alertée de la mainmise imminente du Royaume sur la quatrième ruine et les glyphes qu’elle recèle, décide de lancer une opération commando. C’est sous le commandement du général Sanders que la totalité des unités glyphées présentes sur l’archipel, auxquelles s’est joint Seigi s’apprêtent à croiser le fer. Devant eux, brâhmanes, Kâl Sherkal au glyphe dévastateur. Le Combat s’engage ailleurs… .
Ma critique :
Un des éditeurs de manga qui apporte réellement du sang nouveau, c’est « Doki doki », après le percutant « Sun ken rock » et le rigolo « Cimoc » voilà un shônen nouvelle génération « Taboo Tattoo ».
Je dis volontairement nouvelle génération, car le père spirituel n’est plus Akira Toriyama avec « Dragon ball », mais on se rapproche plus d'œuvres comme « Enfer et paradis » et « Hunter x hunter ».
Par exemple, Seigi le héros n’est pas prédominant dans la série contrairement aux shonen des années 90, tout comme « Hunter x hunter », il est très loin d’être le plus fort de la bande. On pouvait voir la même audace au niveau vidéo ludique avec le très réussi « Final Fantasy XII ». Malgré toutes les références citées, c’est vraiment à partir de ce quatrième tome que j’apprécie la série et je dirais même que je la comprends réellement.
Après, je précise que le pouvoir principal de cette série, les glyphes, me reste toujours obscur, mais les personnages commencent à tenir leur promesses comme BB et le lieutenant Flusie, qui rappellten beaucoup Misato et Ryouji…. du manga « Evangelion ».
Le méchant est une…. méchante, la Princesse Aryabhata c’est aussi assez original pour un shônen et elle nous montre l’étendue de son ambition et de son cynisme.
Au fil des tomes, la série gagne en intérêt pour notre plus grand plaisir.
Une nouvelle série qui monte en puissance en se montrant des plus singulières.