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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 21:21

http://cmp.roularta.be/cmdata/Images/site40/images/krissdevalnor2.jpg

 

Synopsis : Dans le 1er tome, Kriss, mourante, une flèche pointée dans la poitrine, se retrouvait face au tribunal des Walkyries qui allait décider de son sort : les enfers ou le paradis des guerriers. Dans ce 2e tome, Kriss raconte la suite de son histoire en attendant la sentence. On apprend les drames qu’elle a traversés, ce qui laisse entrevoir pourquoi et comment elle est devenue la Kriss que l’ont a découverte, adulte, dans « Les Archers », 9e album de la série « Thorgal ». C’est l’occasion pour Yves Sente de tisser magistralement la naissance de cette personnalité sombre et fascinante.


Mon avis : http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.png


Après la très bonne surprise du tome 1,quelques jours seulement après sa sortie (c’est assez rare) je me suis donc précipité pour acheter la suite « la sentence des Walkyries ». Le titre n’est pas mensonger, on connaitra bien à la fin du volume la décision de ces terribles guerrières sur le sort à donner à son héroïne.

On en revient toujours sur les origines de Kriss de Valnor, dont j’ai trouvé pas mal de points communs avec une héroïne borderline du moment Lisbeth Salander : vindicative, associable, sensible et finalement une femme qui demande qu’à être aimée malgré les sévices de l’homme qu’elle a subis. C’est toujours très prenant, intéressant, et on voit à quel point ce personnage est génial. On voit surtout dans ce volume, le pourquoi du comment qui explique comment Kriss de Valnor va  basculer un peu plus dans le côté obscur.

Tout comme pas mal de personnages symboliques, cela se fera dans un village en feu, rappelez vous Sephiroth dans « Final Fantasy VII » ou encore Anakin Skywalker dans l’épisode II : l’attaque des clones. J’ai remarqué que le dernier personnage que l’on présente à étrangement un look très similaire aux personnages de « Mord Sith » de la saga « L’épée de Vérité ». Le tome 3 pourrait être alors un fantasme érotico lesbien à ne surtout pas rater.


Encore un très bon tome dans l’univers de Thorgal, que tout fan se doit de posséder.

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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 17:38

 

Date de sortie cinéma : 20 Mars 2002

 

Réalisé par Pete Docter, David Silverman, Lee Ulkrich

Avec John Goodman, Billy Crystal, Mary Gibbs …

 

Synopsis : Monstropolis est une petite ville peuplée de monstres dont la principale source d'énergie provient des cris des enfants. Monstres & Cie est la plus grande usine de traitement de cris de la ville. Grâce au nombre impressionnant de portes de placards dont dispose l'usine, une équipe de monstres d'élite pénètre dans le monde des humains pour terrifier durant la nuit les enfants et récolter leurs hurlements.

Le Terreur d'élite le plus réputé de Monstres & Cie s'appelle Jacques Sullivent, alias Sulli. C'est un monstre cornu de 2m40 de haut à la fourrure bleu-vert tachetée de violet. Une nuit, alors qu'il se trouve à l'"Etage de la Terreur", il s'aperçoit qu'une porte de placard n'a pas été fermée correctement. Pour vérifier que tout est en place, il l'ouvre, permettant sans le vouloir à Bouh, une petite fille, de pénétrer dans son monde.

 

Allociné Note Presse : 4.5/5 ; Allociné Note Spectateurs : 3.5/5 (23017 notes)

 

http://image.toutlecine.com/photos/m/o/n/monstres-et-compagnie-08-g.jpg

 

Ma critique : http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.png

 

Retour sur un des petits bijoux de Pixar « Monstres & Cie » qui va fêter ses dix ans et dont on parle de plus en plus d’un préquel en préparation. Dans ce film, Pixar continue d’explorer l’univers de l’enfance qui a commencé via les « Toy Story » et qui s’est conclu à ce jour via les « Cars ».

La spécialité de celui-ci est qu’il commence à étoffer son deuxième niveau de lecture pour édifier une satire de notre société actuelle. En effet, le commerce de l’énergie qui  alimente toute la ville de Monstropolis se nourrit des cris de peurs des enfants à la vue des monstres apparaissant dans leur chambre. Subtile métaphore qui dénonce la politique de la peur et son « utilité » afin de conquérir des marchés énergétiques dans des régions faisant parties de l’axe du mal habité par des « monstres ».

Il est amusant de voir ce film dix ans après et d’y trouver une dimension d’émancipation car quelques mois après les Etats-Unis entrèrent dans la paranoïa du 11 septembre (un des thèmes du film) et surtout quelques années après commençait la guerre du Golfe numéro deux avec son triste leitmotiv. Côté clin d’œil on rend hommage au maitre Spielberg avec E.T. comme le gag du gentil petit monstre déguisé en monstre pour passer inaperçu parmi les monstres et le tracé de bonbons pour attirer le monstre dans sa chambre. Après l’autre clin d’œil vire presque au marketing, où l’on y voit les enfants avoir comme jouets les héros des précédents Pixar.

Comme tout bon Pixar, le film est vraiment drôle grâce au duo très « Timon et Pumba » (le petit vantard et le balourd sympathique), original, bien rythmé et transcende le genre du film d’animation pour devenir un simple bon film.

 

Monstres & Cie confirme qu’il fait bien partie des films qui se bonifient avec le temps dans le domaine de l’animation et ils ne sont pas nombreux.

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 09:35

http://www.filmsfix.com/wp-content/uploads/2010/12/Contre-Toi-film-affiche-736x1000.jpg

 

Date de sortie cinéma : 2 Février 2011

 

Réalisé par Lola Doillon

Avec Kristin Scott Thomas, Pio Marmai, Jean-Philippe Ecoffey, …

 

Synopsis : Des sentiments naissent entre un jeune kidnappeur et sa victime, une femme chirurgien. Celui-ci veut se venger d’un accident médical qui l’empêche de vivre sereinement et décide d’enlever cette femme qu’il tient pour responsable. Lorsque cette dernière parviendra à s’échapper, elle n’aura de cesse de retrouver son geôlier, autant par amour que par vengeance.

 

Allociné Note Presse : 2.7/5 ; Allociné Note Spectateurs : 2.5/5 (193 notes)

 

http://www.ungrandmoment.be/wp-content/uploads/2011/01/Pio-Marma%C3%AF-et-Kristin-Scott-Thomas-dans-un-d%C3%A9cor-bien-artificiel.jpg

 

Ma critique : http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.png

 

Le synopsis du film est attrayant : est-ce que des sentiments peuvent naître et perdurer entre un kidnappeur et sa victime ? Le casting est également alléchant : Kristin Scott Thomas que l’on ne présente plus et l’acteur du moment Pio Marmai (Un heureux événement).

Malheureusement, le film ne prend pas et on reste sur notre faim. Nous allons commencer par les points positifs. Les acteurs sont, selon moi, la force de ce film. Ils sont tous les deux convaincants et ont une belle alchimie à l’écran. En effet, une certaine tendresse se dégage entre les deux acteurs. La durée du film est également bien choisie, c’est court et par conséquent, l'ennui ne se fait pas trop sentir. La fin est également certes rapide mais bien réalisée et bien jouée.

Passons aux bémols, le rythme du film est trop aléatoire. Il aurait pu être plus long, mais pour cela il aurait fallut davantage creuser la psychologie des personnages. Les sentiments naissent vite et l’intrigue se construit et se termine beaucoup trop rapidement.

Il aurait été intéressant par exemple d'en connaitre davantage sur l'affaire médicale en question et surtout en savoir plus sur la personnalité des deux protagonistes. Il aurait été également pertinent de voir davantage de subtilité dans la naissance des sentiments et dans le problème de conscience que cela va causer au personnage interprété par Kristin Scott Thomas : peut-on tomber amoureuse de quelqu'un qui nous a brutalisé? Est-ce que l'amour et la vengeance sont des sentiments qui peuvent cohabiter  ? Ces questionnements auraient du être abordés de manière plus approfondie.

 

Une idée de base prometteuse, mais un film peu creusé qui manque de subtilité.

 

 


 

 

 


 

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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 15:03

http://a2.idata.over-blog.com/360x480/0/00/74/35/58/1318158618_criminal-minds-suspect-behaviour-saison-01-frenc.jpg

 

Série arrêtée en 2011 – 1 saison, 13 épisodes


Créée par Chris Mundy, Edward Allen Bernero en 2011

Avec Forest Whitaker, Janeane Garofalo, Kirster Vangsness, …


Synopsis: Une nouvelle équipe de profilers du FBI en charge de crimes violents. Leur but: cerner le caractère psychologique du criminel afin de l'arrêter...


Allociné Note Spectateurs : 3.4/5 (121 notes)

 

http://ctchannel.files.wordpress.com/2011/02/criminal-minds-suspect-behavior.jpg

Ma critique : http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.png

 

Il est difficile pour une série policière d’avoir comme comparaison Esprits Criminels. J’avoue avoir été surprise d’entendre parler d’un spin-off à la série Esprits Criminels. Cette dernière est une référence en matière de séries policières et la série dérivée devait à la fois être originale et de qualité. Cela commençait bien avec Forest Whitaker à la tête de l’équipe de profilers. L’acteur est extrêmement brillant et pouvait révéler tout son charisme dans la série.

Malheureusement, le reste n’a pas suivi. Les enquêtes sont plutôt banales et leur résolution sont très souvent hasardeuse et invraisemblable (merci Garcia). Les seconds rôles sont trop transparents et le nombre de clichés est incalculable.

Il aurait fallut creuser davantage les intrigues et les personnages pour obtenir une série de meilleure qualité. Toutefois, j’aurai laisser une seconde chance à cette série car petit à petit, je trouve que l’intrigue devenait plus réfléchie et on s’attachait tout de même aux personnages. Il faut dire que le charisme de Forest Whitaker est indéniable et rien que pour lui la série aurait mérité une deuxième saison. De plus, le cliffhanger de la fin de saison aurait donner droit à une suite.


Criminals Minds Suspect Behavior est une série correcte qui a payé cher un début de saison trop laborieux. Dommage …

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4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 15:33

http://www.digitalunivers.com/wp-content/uploads/2009/03/crossfire-t3.jpg

 

Ma critique :  http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.png


Les bandes dessinées de l’éditeur « Soleil » ont vraiment le vent en poupe au point que l’on se demande s’ils ne veulent pas tuer la BD de papa souvent cautionnée par l’éditeur Dupuis. Sous l’influence du manga et du comics, « Soleil » s’attaque à tous les genres, ici le thriller théologique. Certes tous les clichés du genre sont là : l’aventure est en fait la quête du Graal, une mystérieuse organisation est prête à tout pour conserver le secret et ce sacré Judas aurait écrit une autre version de la Bible.

Ce qui nous donne la banane tout le long de l’album c‘est l’esprit Lanfeust bien sur. Un bon humour, des filles sexys et de l’action à gogo, du gunflight féminin qui me réconcilie avec ce plaisir coupable après « Underworld 4 ».

Pour ce tome, pas mal de rebondissements et surtout un rythme original. Ce tome commence en reprenant la suite du gunflight entamé dans le précédent volume, on est invité à un temps mort au milieu pour terminer sur un casse qui s’annonce épique.


48 planches de pur fun.

 

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4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 09:00

http://www.filmosphere.com/wp-content/uploads/2012/02/bullhead-affiche.jpg

 

Date de sortie cinéma : 22 Février 2012


Réalisé par Michael R.Roskam

Avec Matthias Schoenaerts, Jeroen Perceval, Jeanne Dandoy, …


Synopsis : Jacky est issu d'une importante famille d'agriculteurs et d'engraisseurs du sud du Limbourg. A 33 ans, il apparaît comme un être renfermé et imprévisible, parfois violent… Grâce à sa collaboration avec un vétérinaire corrompu, Jacky s’est forgé une belle place dans le milieu de la mafia des hormones. Alors qu’il est en passe de conclure un marché exclusif avec le plus puissant des trafiquants d'hormones de Flandre occidentale, un agent fédéral est assassiné. C’est le branle-bas de combat parmi les policiers. Les choses se compliquent pour Jacky et tandis que l’étau se resserre autour de lui, tout son passé, et ses lourds secrets, ressurgissent…


Allociné Note Presse : 4.2/5 ; Allociné Note Spectateurs : 4/5 (79 notes)

 

http://myscreens.fr/wp-content/uploads/2012/02/bullhead-1-1024x767.jpg

Ma critique : http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.png


Le cinéma belge nous offre de temps en temps de bons petits films comme « C’est arrivé près de chez vous » et le dernier de la liste à mes yeux étant « Eldorado ». Le principal atout de ces films est que tout en conservant leur authenticité, la fameuse « belgitude », ils restent compréhensible pour le public francophone.

Ce premier film qui a reçu un grand nombre de récompenses dans le plat pays aborde un sujet méconnu du cinéma, le trafic d’hormones animales. Ce fil rouge nous permet de découvrir la mafia belge (oui ça existe !!!), le conflit wallon/flamand et une relecture du conte « la Belle et la bête ». Après « Drive » le film noir fait de nouveau une petite incursion dans le thème du conte de fée : bye bye le prince charmant iconique façon Ryan Gosling, place à Mathias Schoenaerts gonflé aux hormones et à la paupière gauche dormante.

Le film est surtout un magnifique drame intimiste qui se mêle et s’entremêle dans le mythe de la Belle et la Bête, où le héros pour revoir sa belle, va devenir un « monstre » malgré lui et va tout entreprendre pour acquérir son amour et sa propre humanité tel King Kong.

Un nouveau petit bijou du film noir est né et se trouve dans la lignée de « 21 grammes » et de « A Bittersweet life » avec un héros romantique noir qui crève l’écran.

Il est intéressant de constater actuellement un retour d’un cinéma plus adulte en ce début d’année 2012. On le voit aussi bien au niveau des comédies françaises « L’amour dure 3 ans », « Les infidèles » que le film de genre « Millenium », « la Taupe ». Voilà qui est extrêmement positif à l’aube du prochain festival de Cannes.

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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 19:50

http://static.programme-tv.net/var/i/2012-05/Les-Infideles-affiche-Reuni.jpg

 

Date de sortie cinéma : 29 Février 2012


Réalisé par Jean Dujardin, Gilles Lellouche, Alexandra Lamy, …

Avec Jean Dujardin, Gilles Lellouche, Alexandra Lamy, …


Synopsis : L’infidélité masculine et ses nombreuses variations, vues par 7 réalisateurs.


Allociné Note Spectateurs : 3,1/5 ; Allociné Note Presse : 3,5/5 (418 notes)

 

 

http://oblikon.net/wp-content/uploads/lamy-dujardin-les-infideles.jpg

Ma critique : http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.png

 

La contre attaque au pays du rire gaulois a plutôt bien commencé en ce début d’année après le très étonnant « L’amour dure 3 ans » voici le film à sketch « Les infidèles » qui j’espère pénalisera les comédies communautaires « La vérité si je mens 3 », « il était une fois une fois »  du moment.

Projet ambitieux : effectuer un film à sketch en 2012 sur un sujet insolent « l’infidélité masculine » en période de politiquement correct et d’autocensure. Pari réussi même si je reviendrai sur le seul segment décevant, l’ensemble est dans l’air du temps : du bon humour décomplexé, comme par exemple les séries « Californication » et « Bref ». On suit surtout des hommes d’aujourd’hui qui se révèlent finalement être des personnalités assez pathétiques, qui portent des masques, se voilent la face et pensent tout avoir. A cela s’ajoute, ce qui est normal étant donné que les personnages sont de la génération de Beigbeder, ce sentiment de perte de la virilité pour l’homme des années 2000, ce qui est discutable.

Les situations sont vraiment drôles, recherchées et osées et cela fait franchement du bien. Jean Dujardin et Gilles Lelouche n’hésitent pas à mettre en danger leur statut de « beau gosse » et même des acteurs que je trouve personnellement que l’on surestime s’en sortent haut la main comme Guillaume Canat et Manu Payet.

Le seul petit bémol est le sketch réalisé par l’unique femme, Emmanuelle Bercot, qui est tout simplement insupportable. Ce segment apparait au milieu du film et est essentiellement concentré sur Alexandra Lamy et Jean Dujardin. On y voit tout les névroses et clichés du petit couple de bobo parisien : une question ambigüe qui reste en suspend lors d’un repas d’ami qui fera « exploser » le couple, c’est juste un gavage de questions/réponses d’un best of d’un « Femme actuelle », qui tombe comme un cheveu sur la soupe. C’est limite un hors sujet tant l’ambiance principale du film est le charme de la jovialité masculine et son irresponsabilité.


Il est bien sur déconseillé ce film aux plus jeunes (pourtant dans la salle il y avait des gosses de 12 ans) mais il est plus que recommandé aux personnes ayant l’esprit et l’humour décomplexé, le film parfait pour se rapprocher d’un climat printanier.

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25 février 2012 6 25 /02 /février /2012 17:05

http://4.bp.blogspot.com/_Z50Ik1LwTlQ/TCQ3wpQjfYI/AAAAAAAADIA/ovoJraccOyw/s1600/RedDeadRedemption+Multi+Edit029.jpg

 

L’histoire : Lorsque des agents fédéraux menacent de s’en prendre à sa famille. John Marston, ancien hors-la-loi notaire, se voit contraint de reprendre les armes pour traquer ses anciens frères d’armes. Prenez part à un combat épique pour votre survie à travers l’Ouest américain et le Mexique, et suivez John Marston dans sa quête pour la rédemption.

 

http://image.jeuxvideo.com/images/x3/r/e/red-dead-redemption-xbox-360-009.jpg


Ma critique : http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.png


Avec le jeu « Red dead redemption », j’ai donc joué à mon deuxième jeu catégorie « Map world » et surtout à mon premier jeu Rockstar Games, le papa du genre « GTA-like » sur les consoles de nouvelle génération.

J’ai donc attendu qu’il soit à un tarif platinium pour m’aventurer dans ce grand jeu, et commençant à aimer à juste titre l’univers des Western depuis quelques années ce jeu est arrivé à un parfait timing. Dès les premières minutes du jeu on comprend tout de suite que le jeu va nous procurer des émotions qu’aucun jeu ne nous avait donné à ce jour. C’est un grand jeu d’ambiance, d’action, d’aventure que les tests vous confirmeront avec plus de justesse que moi, je vais donc m’attarder sur ma petite expérience en tant que gamer.

Au bout d’une trentaine minutes de jeu, on est littéralement un cow boy et le simple fait de galoper sur son cheval et d’y admirer les décors et tout simplement magique. J’ai adoré les quêtes annexes où l’on y rencontre tous les névrosés de l’ouest où tel un roliste, on aime leur donner un petit coup de main, les parties de chasse à l’homme, le dressage des chevaux sauvages et surtout les trips d’actions où avec une poignée de bons gars, on met en étant de nuire une sale bande : 100% fun.

Le seul petit bémol est le scénario. On est pris en otage par des agents fédéraux pour zigouiller d’anciens complices, et pendant 4/5 du jeu on se concentre que sur deux fugitifs. Et pour avoir des indices plus ou moins consistants on va devoir faire moult services à divers protagonistes et cela sans jugement de valeur et c’est le problème pour un jeu dont le thème est la rédemption. On pourra aider un scientifique affirmant des propos sur l’inégalité des races, un dictateur mexicain en mode Bachir et aussi aider des réfugiés à quitter le pays tel Vincent Lindon dans « Welcome », sans aucune remise en cause car le but du héros est de servir son intérêt, celui de retourner à sa ferme avec son épouse et son garçon.

Paradoxalement les dialogues et sa forme sont d’excellente facture avec une bonne dose d’humour et de réflexion. Ma mémoire de gamer cristallisera deux grands moments du jeu : la partie où John Marston arrive au Mexique. D’ailleurs, la musique du jeu laissera place à une chanson propre à l’ambiance. Et surtout l’épilogue qui renvoie au fondement du mythe de l’Amérique de l’époque.

 

Même si, au niveau du scénario on n’a pas l’impression d’être dans une tentative de rédemption mais plutôt que l’on se fait gentiment balader par tout le monde, Red dead redemption est une expérience unique qui a repoussé les limites du jeu vidéo et qui malgré le genre « gta-like » tant décrié commence à lui donner ses lettres de noblesse.

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25 février 2012 6 25 /02 /février /2012 08:35

http://media.melty.fr/article-784902-ajust_614/la-ceremonie-des-cesars-2012-le-palmares.jpg

 

Nous avons vécu hier une très belle cérémonie. Nous sommes heureux de la victoire de Bérénice Béjo qui mérite amplement cet oscar, mais très déçu pour Jean Dujardin et pour La guerre est déclarée, qui repartent bredouille.

 

Meilleur film :

The Artist

  

Meilleur acteur :

Omar Sy (Intouchables)

  

Meilleure actrice :
Bérénice Béjo (The Artist)

  

Meilleur réalisateur :

Michel Hazanavicius (The Artist)

  

Meilleur second rôle masculin :

Michel Blanc (L'exercice de l'Etat)
 
 

Meilleur second rôle féminin :

Carmen Maura (Les femmes du 6ème étage) 
 
 

Meilleur espoir masculin :

Grégory Gadbois (Angèle et Tony)


Meilleur espoir féminin :

Nadia Ayadi (Polisse) & Clotilde Hesme (Angèle et Tony)


Meilleur scénario original :

Pierre Schoeller (L'exercice de l'Etat)


Meilleure musique originale :

Ludovic Bource (the Artist)


Meilleure photo :

The Artist


Meilleurs costumes :

L’Apollonide


Meilleur film étranger :
Une séparation

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 09:46

http://www.francesoir.fr/sites/default/files/imagesweb/cheval_guerre_affiche.jpg

 

Date de sortie : 22 février 2012

 

Réalisé par Steven Spielberg

Avec Jeremy Irvine, Emily Watson, …


Synopsis : De la magnifique campagne anglaise aux contrées d’une Europe plongée en pleine Première Guerre Mondiale, "Cheval de guerre" raconte l’amitié exceptionnelle qui unit un jeune homme, Albert, et le cheval qu’il a dressé, Joey. Séparés aux premières heures du conflit, l’histoire suit l’extraordinaire périple du cheval alors que de son côté Albert va tout faire pour le retrouver. Joey, animal hors du commun, va changer la vie de tous ceux dont il croisera la route : soldats de la cavalerie britannique, combattants allemands, et même un fermier français et sa petite-fille…

 

Note Allociné Presse : 3.6/5 ; Note Allociné Spectateurs : 3.7/5 (308 notes)

 

http://oblikon.net/wp-content/uploads/cheval-de-guerre-war-horse.jpg

 

Ma critique : http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.pnghttp://perlbal.hi-pi.com/blog-images/26684/gd/1200004157/Etoile.png

 

Le nouveau film de tonton Spielberg est arrivé et cela seulement quatre mois après son très réussi « Tintin ». Il est d’ores et déjà facile de voir quelques parallèles entre ces deux derniers films, dont le grand point commun est le personnage « humain » principal. Même si dans ce film le héros est un cheval prénommé « Joey », le rôle du maitre est un certain Albert qui est tout simplement un Tintin live. Comme le personnage d’Hergé, celui-ci est dénié de personnalité, de caractère, il n’a pas d’ambition, d’envie, de traits complexes, de paradoxes, de « vices », il est pur.

Le moteur chez Tintin est bien sur l’aventure et chez Albert c’est l’affection incommensurable pour son cheval, contrairement à son dernier film ici l’intrigue est essentiellement ponctuée de bons sentiments. Même un blasé comme moi lui pardonne ce traitement tant l’image, la mise en scène, la réalisation est de très haute qualité. On ne s’ennuie vraiment pas dans le film et on est K.O. devant la difficulté des scènes lors des grandes scènes de bataille de 14-18 centrées sur le cheval.

L’autre parallèle avec Tintin c’est que depuis son film « la Guerre du monde », on y voit les clins d’œil dans la mythologie des films de Spielberg. La scène où Niels Arestrup autorise sa fille à monter sur Joey au pied d’une colline et que celle ci disparait dans le versant opposé où elle y trouve…. la guerre. On pense automatiquement à « la Liste de Schindler »  c’est en haut d’une colline que Schindler verra l’oppression des nazis sur les juifs avec la célèbre fille au manteau rouge. Et c’est également sur un des versant de la colline que Tom Cruise dans « La Guerre des monde »  laissera son fils faire la guerre de l’autre côté.

La dernière allusion au cinéma de Spielberg je la marque par avance d’un SPOILER !!!!!!!!!!!!!!!! Quand Albert et Joey reviennent de la guerre et arrivent enfin chez eux, la première personne qui les voit est la mère, celle-ci est filmée de dos de façon latérale portant un tablier, on y a trouve la même scène au bout de 30 minutes dans « Il faut sauver le soldat Ryan » où dans ce long métrage on lui apporte la nouvelle que ses trois fils ont périt à la guerre. C’est un peu comme si Spielberg nous montrait que la mère de Ryan a pu récupérer un de ses fils.

 

Pour terminer même si l’on reprochera les bons sentiments de Steven Spielberg, il nous livre surtout un grand film sous la forme d’une odyssée hippique et épique.  

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