L’histoire : Suzan ou Shania ? Qui est vraiment Lady S ? Néo-Zélandaise ou Estonienne ? Fille d’ambassadeur américain ou de Juifs dissidents U.R.S.S. ? Enfant perdue ou voleuse à la petite semaine ? Victime de chantage ou espionne de haut vol ?
Ma critique : Comme pour la série britannique MI5, la série franco-belge Lady S confirme le retour en grande forme du genre Espionnage mais cette fois-ci dans un autre support.
Sur cette série tout tourne autour d’un personnage, qui est une très belle héroïne, lady S. et qui a autant de noms différents qu’une personne souffrant de troubles dissociatifs de personnalités et pourtant une seule et même identité. (Quel teaser !!!!)
L’atout de cette série est de voir le scénariste Van Hamme (Thorgal, Largo Winch) être aussi à l’aise dans l’espionnage de la mondialisation que les histoires d’espionnage où le héros est amnésique (la série XIII) qui au fil des années devient un genre en soi.
Pour cet épisode Lady S profite enfin d’un repos bien mérité, mais se retrouve vite en difficulté après l’enlèvement de son père diplomate et le retour de son passé de voleuse internationale.
Ce tome permettra aux lecteurs d’en apprendre surtout plus sur l’organisation CIRCAT qui ne cesse d’harceler notre jolie Lady S. depuis ses trois autres aventures.
Cet épisode qui se déroule intégralement en France et qui semble avoir été dessiné comme un épisode de Jérome K, Jérome Bloche par l’ami Dodier.
Un tome très agréable à lire dont on a hâte de connaitre la suite.