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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 20:35

 

Date de sortie cinéma : 30 Juin 2010

 

Réalisé par Daniel Alfredson

Avec Michael Nyqvist, Noomi Rapace, Lena Endre, …

 

Synopsis : Traquée, prise au piège d’une manipulation manifestement très planifiée, Lisbeth va devoir affronter son passé. Elle pourra compter sur l’amitié infaillible de Mikael Blomkvist, qui fere tout pour prouver qu’elle n’est pas la tueuse en série que les médias et la police dépeignent.

  

Allociné note Presse : 3,2/5 ; Allociné Note Spectateurs : 3,4/5 (785 notes)

 

Ma critique : nullnullnullnull

 

Ce deuxième film est un très bon opus de la saga Millénium. Je ne comprends pas les critiques qui jugent cette suite inefficace.

Les 2H20 passent à une vitesse affolante. On dévore chaque scène et  je suis encore une fois admiratrice de la prestation de Noomi Rapace, que je trouve époustouflante, mais également de Michael Nyqvist, que j’ai trouvé particulièrement touchant dans cette confiance totale qu’il met en Lisbeth.

Certes les personnages secondaires sont laissés de côté, mais des choix doivent être réalisés pour faire tenir la richesse des romans dans les films, et, pour ma part, ces choix sont réellement pertinents.

 

En sortant de ce film, on n’a qu’une envie : voir le troisième opus. Et par chance, cela arrivera très vite…

 

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 20:31

 

Sortie : 19 janvier 2005

 

Réalisé par Brad Anderson

Avec Christian Bale, Jennifer Jason Leigh, Aitana Sanchez-Gijon, …

 

Synopsis : Trevor Reznik est ouvrier dans une usine. Un métier répétitif, fatiguant, usant, au milieu d’un bruit assourdissant, où la moindre inattention peut avoir des conséquences dramatiques. Une attention que Trevor a du mal à maintenir, car il est très fatigué. En fait, Trevor n’a pas dormi depuis un an. Il partage ses nuits entre la cafétéria de l’aéroport, où il retrouve Marie, la serveuse, et l’appartement de la prostituée Stevie.

Depuis quelques temps, la vie de Trevor devient de plus en plus étrange. Qui laisse des messages codés dans son appartement ? Pourquoi Marie ressemble-t-elle tant à sa mère ? Quant à Stevie, elle semble bien connaître le nouvel employé de l’usine, Ivan. Pourquoi ne lui a-t-elle rien dit ? Un homme d’ailleurs très étrange, cet Ivan. Inquiétant, dérangeant, il semble surveiller sans cesse Trevor…

 

Allociné note Presse : 3,8/5 ; Allociné note Spectateurs : 3,8/5 (3816 notes) 

 

Critique de Nana : nullnullnullnull

 

Cela faisait longtemps que je souhaitais voir ce film, j’avais eu écho de très bonnes critiques dont la performance de Christian Bale qui a perdu 30 kilos pour interpréter ce rôle. Commençons donc par sa prestation, il est effectivement incroyable et à la limite du reconnaissable. Il signe, ici, une performance exceptionnelle.

Le suspens est présent tout le long du film et on cherche à comprendre ce qu’il s’y passe réellement. Le scénario est quant à lui très bien ficelé. Le seul bémol concerne la fin, certes habile, mais prévisible …

 

Ne passez pas à côté de cet excellent thriller psychologique !

 

Critique de Ryo : nullnullnullnull

 

Une fois de plus, je parle d’un petit film noir (cela devient une vraie chronique) et qui traite encore de la schizophrénie, aurais-je la même la maladie que nos tristes bleus ?

Je pense que le film « mental » ou « la folie » devient vraiment un genre en soi, donc après le très bon « Shutter Island » et en attendant le très prometteur « Inception », je vous conseille vivement « the Machinist ».

Une fois de plus tous les ingrédients du genre sont réunis : perte de la réalité, le spectateur comme le héros est désorienté et un finish réussi qui invite à revoir le film sous un autre angle.

L’intérêt du film est sa belle justesse dans la sensibilité jamais niaise ou lourde et surtout la performance hors norme de Christian Bale qui fait vraiment un sans faute.

Comme tout bon film de ce genre, j’invite à le voir et à le revoir pour y voir toute les petites traces de l’inconscient du personnage distillé intelligemment via les images ou les dialogues.

 

Pour conclure, je me souviens une critique de magazine « Première » sur le film : "le plus effrayant dans ce film c’est que ça peut être possible….".

 

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 20:24

 

 

 

Date de sortie cinéma : 10 février 2010

 

Réalisé par Glenn Ficarra, John Requa, …

Avec Jim Carrey, Ewan McGregor, Leslie Mann, …

 

Synopsis : L’histoire vraie d’un ex-flic, ex-mari, ex-arnaqueur aux assurances, ex-prisonnier modèle et éternel amant du codétenu Phillip Morris. Steven Russell est prêt à tout pour ne jamais être séparé de l’homme de sa vie. Ce qui implique notamment de ne pas moisir en prison. Jusqu’où peut-on aller par amour ? Très loin si l’on en croit l’histoire incroyable de Steven Russell, un génie de l’évation rattrapé par son romantisme.

 

Allociné Note Presse : 3,9/5 ; Allociné Note Spectateurs : 3,5/5 (2380 notes)

 

Ma critique : nullnullnullnull

 

Quelle belle surprise ! Voici 1H30 de pur bonheur…

C’est drôle, remarquablement bien joué…  D’ailleurs, c’est, pour moi, un des meilleurs rôles de Jim Carrey. Concernant Ewan Mr Gregor, dont je suis amoureuse depuis Moulin Rouge (logique), le voir jouer aussi bien un gay, cela m’a fait vraiment bizarre … ^^

Ce film est également extrêmement bien ficelé et on se laisse complètement bercer au rythme des aventures du protagoniste.

De plus, le fait que l’histoire soit vraie, renforce l’impact que peut avoir le film sur le spectateur.

Et au final, en plus d’être drôle, c’est terriblement touchant et émouvant car on se demande finalement : « Qu’est-ce qu’on serait prêt à faire par amour ? ».  

 

Un film de qualité, rempli d’émotions, toutes aussi riches que différentes, que je ne peux que conseiller !

 

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 17:13

 

Date de sortie cinéma : 16 juin 2010

 

Réalisé par Sylvain Chomet

Avec Jean-Claude Donda, Edith Rankin, …

 

Synopsis : A la fin des années 50, une révolution agite l’univers music-hall : le succès phénoménal du rock, dont les jeunes vedettes attirent les foules, tandis que les numéros traditionnels – acrobates, jongleurs, ventriloques – sont jugés démodés.

Notre héros, l’illusionniste, ne peut que constater qu’il appartient désormais à une catégorie d’artistes en voie de disparition. Les propositions de contrats se faisant de plus en plus rares, il est contraint de quitter les grandes salles parisiennes et part avec ses colombes et son lapin tenter sa chance à Londres. Mais la situation est la même au Royaume-Unis : il se résigne alors à se produire dans des petits théâtres, des garden-parties, des cafés, puis dans le pub d’un village de la côte ouest de l’Ecosse, où il rencontre Alice, une jeune fille innocente qui va changer sa vie à jamais.

 

Allociné note Presse : 4,1/5 ; Allociné note Spectateurs : 3,4/5 (600 notes)

 

Critique de Nana : nullnullnull

 

Tout d’abord, je tiens à partager mon avis sur la distribution plus que restreinte de ce film. Cela est quand même très dommageable de voir que seul un cinéma sur Lille (d’ailleurs, je remercie chaleureusement le Métropole) diffuse ce film… (mais bon il y a quand même le film de Michael Youn et l’agence tout risque qui sortent la même semaine … Déplorable…).

Parlons du film en lui-même à présent. J’avais eu un véritable coup de cœur pour Les triplettes de Belleville, qui est un de mes films cultes. L’illusionniste m’a, je dois l’avouer, moins captivée. Le manque d’intrigue, se fait en effet trop pesant.

Toutefois, je me suis « régalée » devant l’esthétisme du film. Les thèmes de la solitude et de la fin d’un art sont parfaitement illustrés et le charme du film opère pendant 1H20. Je conseille donc vivement ce film, qui nous sort de notre ordinaire…

 

Un film d’une grande poésie …

 

Critique de Ryo :  nullnullnull

 

Ce petit film se révèle être un bijou de l’animation française en reprenant une des icônes de son cinéma, Jacques Tati et surtout en conservant son esprit.

Il est à la fois modeste dans son scénario, qui peut paraitre simpliste et léger, et possède une grande ambition démesurée : réaliser un film d’animation quasiment mué en 2010. Cette mission  impossible aboutit pourtant à une mission réussie.

Le studio utilise des thèmes presque « tabou » dans l’animation : la nostalgie d’une époque révolue, l’hermétisme à « la nouvelle technologie » bref tout ce qui braque la génération « iphone » et cela permet au film de transcender une grande humanité  et surtout une Foi en la « magie » et en l’extraordinaire.

C’est toujours un plaisir de voir un film d’animation (dont le Japon et les  Etats unis sont les grands patrons) à la sensibilité européenne qui ose prendre le revers de «  tout ce qui marche » tout en préservant l’essentiel : nous faire partager un moment magique.

 

Ne passez pas à ce côté de ce film artisanal unique !

 

 

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 17:09

Bug

 

Date de sortie cinéma : 21 février 2007

 

Réalisé par William Friedkin

Avec Asley Judd, Harry Connick Jr, Lynn Collins, …

 

Synopsis : Agnès vit seule dans un motel désert. Elle est hantée par la disparition de son enfant et redoute la visite de son ex-mari, un homme violent tout juste sorti de prison. Dans cet univers coupé du monde, Agnès tombe amoureuse de Peter, un ex-soldat. Leur relation tourne au cauchemar lorsqu’ils remarquent l’existence de mystérieux insectes capables de s’introduire sous la peau. Ensemble ils vont chercher la vérité : hallucination ou secret d’état ?

 

Allociné Note Presse : 3,9/5 ; Allociné Note Spectateurs : 2,8/5 (1012 notes)

 

Ma critique : nullnullnull

 

C’est typiquement le petit film indépendant américain à petit budget qui repose sur un scénario original et des acteurs de seconds rôles ayant le premier rôle.

Le film aborde un sujet difficile qu’est la paranoïa mais en le prenant sur l’aspect le plus excitant la paranoïa collective et, est ainsi montré la fragilité de l’esprit, la capacité de l’être humain à se fermer les yeux et à se couper du monde.

Il m’est très difficile de donner une note au film 24 heures après l’avoir vu, est-ce un bon film ou vraiment un très bon film car finalement il reste dans la tête malgré que ce soit un huit clos de 1h30 dans un motel de l’Amérique profonde.

Je tiens à préciser que rarement un couple d’acteur (Ashley Judd et Harry Connick  JR) m’avait autant bluffé car ils pourraient être ridicules dans leur autisme mais c’est l’inverse et cela montre une vraie détresse humaine.

Pour tous les petits curieux de cinéma, voilà un bon O.V.N.I. cinématographique à vous mettre sur la dent.

 

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 12:41

 

Date de sortie cinéma : 9 juin 2010

 

Réalisé par Breck Eisner

Avec Timothy Olyphant, Radha Mitchell, Danielle Panabaker, …

 

Synopsis : Et si la folie était contagieuse ? Imaginez un virus capable de transformer n’importe qui en fou dangereux. Imaginez maintenant ce virus se répandant sur une petite ville tranquille du Middle-West. Alors que les habitants voient leurs proches se changer en assassins, un shérif tente de protéger les quelques personnes encore non infectées en attendant les renforts. Mais lorsque l’armée intervient enfin, c’est pour mettre la ville en quarantaine quitte à exécuter toute personne tentant de fuir. Abandonnés à leur sort, ce petit groupe de survivants va tenter de s’en sortir...

 

Allociné note Presse : 2,4/5 ; Allociné note Spectateurs : 2,9/5 (872 notes)

 

Ma critique : nullnull

 

Ce film est un remake du maitre de l’horreur de Romero des années 70 et pour tout dire ce n’était pas indispensable de le réactualiser. Car au vu des nouvelles tendances et surtout petits bijoux dans le genre zombies « l’armée des morts, 28 jours plus tard…. », ce long métrage est au mieux le « walking dead » de la deuxième division.

Tout d’abord parlons des monstres qui vont pas vraiment peur et flirtent avec le ridicule en étant le mix entre le zombie et le gros beauf texan. Et c’est là tout le problème ; ce film cible l’ado texan républicain avec ses frayeurs que l’on voit deux minutes avant et ses références bibliques. Par exemple quand le héros culpabilise il rabote devant sa femme enceinte tel un Joseph devant sa Marie mais c’est surtout plus criant à la fin du film…. Ce qui marrant c’est que l’on prend le même trio de personnages que le comics « walking dead », le shérif vaillant qui tente de garder la tête sur les épaules (au sens propre comme au figuré), l’épouse enceinte et le meilleur ami du héros qui est l’adjoint au shérif avec une casquette, et cette fois tout est creux et ennuyeux, impossible de s’attacher à ces personnes. 

On peut également ajouter un rythme très mou du genou, sincèrement il vaut mieux éviter ce film.

 

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 12:27

 

Date de sortie cinéma : 7 janvier 2004

 

Réalisé par Sofia Coppola

Avec Bill Murray, Scarlett Johansson, Giovanni Ribisi, …

 

Synopsis : Bob Harris, star de cinéma sur le déclin, arrive à Tokyo pour tourner une publicité. Du haut de son hôtel de luxe, il est détaché de tout, incapable de s’intégrer ni de dormir à cause du décalage horaire. Dans ce même hôtel, Charlotte, une jeune Américaine tout juste diplômée, accompagne son mari, photographe de stars. Elle s’ennuie et se sent délaissée, jusqu’à ce qu’elle rencontre Bob. Perdus dans un univers inconnu, ces deux êtres à la recherche d’affection vont errer ensemble dans Tokyo, la nuit.

 

Allociné note Presse : 4,4/5 ; Allociné note Spectateurs : 3,7/5 (1170 notes)

 

Ma critique : nullnullnullnullnull

 

Petit bijou cinématographique de la décennie 2000, c’est un film qui est un véritable rêve éveillé où malgré la perte de la notion du temps, de la communication dans un Tokyo ultra urbanisé, se réveille (magnifique jeu de mot) l’intérêt de l’autre et d’une autre culture.

Car oui lost in translation traite de la mélancolie urbaine, de la crise existentielle, de la solitude mais surtout du manque de communication face à un autisme individuel contemporain (le boulot pour le mari de Scarlett Johansson ; le matérialisme de l’épouse de Bill Murray…) avec une grande ouverture d’esprit et un humour fin et simple.

Bill Murray est magnifique en clown triste perdu mais surtout profondément humain, pour Scarlett c’est le film qui a fait d’elle une icône chic et glamour sans être « bling bling » et tout cela en se baladant avec une culotte rose. J’aime la fraicheur de ses scènes, le karaoké la dernière scène au cœur de Tokyo.

Certainement le film qui me correspond le mieux et qui me définit le mieux dans ma solitude, mon humour, mon état d’esprit, c’est vraiment le seul film où j’ai eu l’impression et l’arrogance de penser qu’il a été fait pour moi.  

 

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 12:21

 

Date de sortie cinéma : 2 juin 2010

 

Réalisé par Michael Patrick King

Avec Sarah Jessica Parker, Kim Cattrall,…

 

Synopsis : Que se passe t-il après avoir dit « Oui » ? La vie est telle que ces dames l’ont toujours rêvée, mais ce ne serait pas « Sex and the City » si elle ne leur réservait pas quelques surprises…cette fois, sous la forme d’une aventure glamour, baignée de soleil, les entraînant loin de New York dans l’un des endroits les plus luxuriants, exotiques et vivifiants de la planète ; là où les fêtes ne  s’arrêtent jamais et où le mystère est omniprésent. C’est une escapade qui arrive à point nommé pour les quatre amies, qui se retrouvent dans – et s’insurgent contre – leurs rôles traditionnels d’épouse et de mère.

 

Allociné note Presse : 2,8/5 ; Allociné note Spectateurs : 3/5 (1870 notes)

 

Ma critique : nullnull

 

Aïe, Aïe, Aïe, grande déception pour ce deuxième volet de Sex and The City… Déjà, 2H30 pour un film ça peut être long, mais si en plus il n’y a pas vraiment de scénario, ça peut être très long …

Grande fan de la série, j’avais été séduite par le premier film, mais là, je me suis ennuyée.

En gros, on prend un trait de caractère de chacune des héroïnes, par exemple, Miranda n’arrive pas à se faire entendre dans son travail car c’est une femme, ou Charlotte a du mal à gérer son rôle de femme et de mère, et on reste là-dessus. Je ne peux même pas dire que ces idées sont creusées, car ce n’est pas le cas, elles sont seulement mises en exergue.

Ce deuxième volet est également plus « Bling-Bling » que le précédent, en particulier lors du voyage aux Emirats Arabes Unis, cette partie du film peut d’ailleurs être mal perçue car la suprématie américaine peut être rapidement ressentie et cela peut être gênant …

Je tiens tout de même à souligner un atout du film, qui est de mettre en valeur le rôle moderne de la femme. Ce qui est drôle, c'est qu'involontairement, ce film est très actuel en France, car il souligne les problèmes que peut soulever le port de la burka par rapport à l’image de la femme…

 

Malgré tout, Sex and the City reste agréable à regarder. Les héroïnes jouent bien, elles sont belles, drôles et on les aime, même si le scénario ne suit pas … Dommage …

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 12:08

 

Date de sortie cinéma : 3 septembre 2008

 

Réalisé par Pascal Laugier

Avec Mylène Jampanoï, Morjana Alaoui, Catherine Bégin …

 

Synopsis : Lucie, dix ans, est retrouvée quelques mois après son enlèvement. Traumatisée, mutique, elle est placée dans un hôpital où elle se lie d’amitié avec Anna. Quinze ans plus tard, accompagnée d’Anna et persuadée d’avoir retrouvé ses bourreaux, elle décide de se venger.

 

Allociné note Presse : 2,6/5 ; Allociné note Spectateurs : 3,2/5 (2081 notes)

 

Ma critique :  nullnullnullnull

 

Véritable film, qui souleva une polémique sur le cas où il devait être interdit ou pas aux moins de 18 ans du à son extrême violence crue, il aura finalement les honneurs d’être classé aux moins de 16 ans et des bonnes critiques du cinéma de genre.

Or, après un deuxième visionnage, ce n’est pas à mes yeux un film d’horreur mais un film qui traite de l’horreur mais surtout la dénonce non pas en la suggérant mais en la montrant.

Les points forts du film, ce sont : une histoire très intense, un scénario qui ne cesse de se réinventer (pas facile pour un huit clos) et un certain esthétisme de l’horreur qui, il faut bien le reconnaitre, est proche de l’esprit « Silent hill ».

Même si je peux comprendre que l’on a reproché au film d’être proche d’un « snuff movie », c’est avant tout une œuvre expérimentale maitrisée qui apporte beaucoup au cinéma français de genre  au niveau international.

 

Donc un conseil :  il faut le voir, mais âme sensible s’abstenir.

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 12:04

http://media.zoom-cinema.fr/photos/3374/le-temoin-amoureux-affiche.jpg

 

Date de sortie cinéma : 18 juin 2008

 

Réalisé par Paul Weiland

Avec Patrick Dempsey, Michelle Monaghan, Sydney Pollack, …

 

Synopsis : Pour Tom, la vie est belle. Ses affaires marchent, il a d’excellents amis et aucune femme ne lui résiste. Pourtant, malgré ses copains et ses flirts, Tom n’a qu’une seule meilleure amie : Hannah. Lorsque Hannah part en voyage d’affaires pour six semaines en Ecosse, Tom se surprend à trouver sa vie bien vide. C’est décidé : quand Hannah rentrera, il la demandera en voyage.

Mais à son retour, Hannah lui annonce la grande nouvelle : elle est fiancée à un bel et riche Ecossais. Lorsque la jeune femme demande à Tom d’être son garçon d’honneur, celui-ci accepte, avec le secret espoir d’empêcher ce mariage et de la conquérir …

 

Allociné note Presse : 2,4/5 ; Allociné note Spectateurs : 3,1/5 (1483 notes)

 

Ma critique : nullnullnull

 

J'ai trouvé cette comédie romantique réussie, portée par un duo Dempsey/Monaghan très convaincant.

On est bien sûr loin des talentueux Love Actually ou Coup de foudre à Nothing Hill, mais ce film m’a séduite.

Cela fait du bien de voir « Dr Mamour » dans un bon rôle, loin des hôpitaux. Quant à Michelle Monaghan (également vue dans Gone Baby Gone ou Mission Impossible III), sa simplicité et son jeu sont très agréables.

 

Le scénario est bien ficelé, l’histoire prenante, c'est une comédie romantique moderne et réussie.

 

 

 

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