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20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 16:27

 

Série arrêtée en 2007 – 2 saisons, 22 épisodes

 

Créée par John Milius, William J. MacDonald, Bruno Heller en 2005

Avec Kevin McKidd, Ray Stevenson, James Purefoy, …

 

Synopsis : Les destins de deux soldats romains et de leurs familles alors que la République Romaine est en train de s’effondrer en laissant peu à peu la place à un Empire.

 

Allociné Note Spectateurs : 3,8/5 (7194 notes)

 

Ma critique : nullnullnullnull

 

J’ai regardé avec beaucoup de plaisir la saison 1 de Rome.

Après The Tudors et Spartacus, Rome est la troisième série « historique » que je suis et toutes ces séries ont pour point commun d’être très captivantes.

On y retrouve Kevin McKidd (Owen de Grey’s Anatomy) et je l’ai trouvé très bon en soldat, qui entre malgré lui dans la politique au côté de Jules César. J’ai également beaucoup apprécié l’acteur Ray Stevenson dans le rôle du très charismatique Titus Pullo.

Cette série a le mérite de restituer fidèlement l’histoire et de la rendre attractive. Certains lui reprochent d'être trop violente et d'abuser de scènes érotiques mais en même temps, cela reste fidèle à cette Rome où la débauche était omniprésente.

Pour finir, Rome est également une petite merveille d’esthétisme  avec des décors à en couper le souffle.

 

Je ne vais pas tarder à visionner la saison 2, malheureusement la dernière de cette série…

 

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20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 15:12

 

L’histoire : Suzan ou Shania ? Qui est vraiment Lady S ? Néo-Zélandaise ou Estonienne ? Fille d’ambassadeur américain ou de Juifs dissidents U.R.S.S. ? Enfant perdue ou voleuse à la petite semaine ? Victime de chantage ou espionne de haut vol ?

 

Ma critique : Comme pour la série britannique MI5, la série franco-belge Lady S confirme le retour en grande forme du genre Espionnage mais cette fois-ci dans un autre support.

Sur cette série tout tourne autour d’un personnage, qui est une très belle héroïne, lady S. et qui a autant de noms différents qu’une personne souffrant  de troubles dissociatifs de personnalités et pourtant une seule et même identité. (Quel teaser !!!!)

L’atout de cette  série est de voir le scénariste Van Hamme (Thorgal, Largo Winch) être aussi à l’aise dans l’espionnage de la mondialisation que les histoires d’espionnage où le héros est amnésique (la série XIII) qui au fil des années devient un genre en soi.

Pour cet épisode Lady S profite enfin d’un repos bien mérité, mais se retrouve vite en difficulté après l’enlèvement de son père diplomate et le retour de son passé de voleuse internationale.

Ce tome permettra aux lecteurs d’en apprendre surtout plus sur l’organisation CIRCAT qui ne cesse d’harceler notre jolie Lady S. depuis ses trois autres aventures.

Cet épisode qui se déroule intégralement en France et qui semble avoir été dessiné comme un épisode de Jérome K, Jérome Bloche par l’ami Dodier.

 

Un tome très agréable à lire dont on a hâte de connaitre la suite.

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 20:46
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16 février 2011 3 16 /02 /février /2011 21:35

 

Date de sortie cinéma : 2 février 2011

 

Réalisé par Dany Boon

Avec Benoît Poelvoorde, Dany Boon, Julie Bernard, …

 

Synopsis : 1er janvier 1993 : passage à l’Europe. Deux douaniers, l’un belge, l’autre français, apprennent la disparition prochaine de leur poste frontière situé dans la commune de Courquain France et Koorkin Belgique. Francophobe de père en fils et douanier belge trop zélé, Ruben Vandevoorde se voit contraint et forcé d’inaugurer la première brigade volante mixte franco-belge. Son collègue français, Mathias Ducatel, considéré par Ruben comme son ennemi de toujours, est secrètement amoureux de sa sœur. Il surprend tout le monde en acceptant de devenir le co-équipier de Vandevoorde.

 

Allociné Note Presse : 2,2/5 ; Allociné Note Spectateurs : 3,1/5 (2425 notes)

 

Ma critique : nullnull

 

J’ai abordé ce film avec appréhension. Tout d’abord, j’avais trouvé Bienvenue chez les Ch’tis correct mais sans partager l’effusion populaire. Et puis, je me doutais bien que ce film serait en-dessous et je ne me suis pas trompée.

C’est le troisième film que je vois de Benoît Poelvoorde en moins d’un mois. Dans Les émotifs Anonymes, il était excellent. J’ai ensuite regardé La guerre des Miss où je ne l’ai pas trouvé spécialement bon, en même temps vu la qualité du film… Ici, dans Rien à déclarer, il est bon, convaincant mais j’ai tout de même trouvé qu’il en faisait trop. Pour l’instant, je retiendrai ses performances dans Podium et Les émotifs anonymes.

Dany Boon joue bien sans être transcendant. Ces deux acteurs possèdent un bon capital sympathie et une réelle alchimie à l’écran et heureusement d’ailleurs.

En effet, j’ai eu très peur, quand j’ai découvert que Rien à déclarer durait 2H18 et la première demi-heure confirmait mes craintes… L’ennui était plus que présent. Heureusement, dès que les scènes réunissant le duo Poelvoorde/Boon commencèrent, je suis un peu plus entrée dans le film.
Toutefois, ce film réunissait tout ce que je n’aimais pas : humour lourd, fade, sans surprise, clichés : rien de très subtil. J’avoue tout de même avoir ri à cette fameuse scène des deux acteurs au ralenti avec comme fond « I Believe I can Fly ». Je crois d’ailleurs que c’est la seule scène où j’ai réellement ri…

 

Un film moyen avec un bon duo d’acteurs…

 

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15 février 2011 2 15 /02 /février /2011 09:39

 

Le film, adapté du comics, est sorti l’année dernière et fut plutôt réussi. Il respectait bien l’esprit provocateur de la série et a bénéficié d’un beau succès critique et au box office. Malheureusement, il fut dans la liste regrettable des films les plus téléchargés illégalement juste après Avatar.

J’ai lu le tome 1 avant de voir le film et le tome 2 après, je peux maintenant comprendre les différences et apporter une vision globale, quel professionnalisme !!!!!!!!!!!

Pour commencer je l’ai lu comme une vraie bouffée d’air frais, impossible de lâcher ce comics des mains, tellement il est INsolent et INventif  bref totalement « IN », pour ce Spiderman du 21ème siècle avec son côté looser, le cynisme, le mal être, soit complètement de la jeunesse d’aujourd’hui. L’humour mordant de Mark Millar est au rendez-vous dont je vous livre un petit extrait quelle est la définition d’un démocrate selon un facho : « un connard prêt à manifester pour le droit de tuer des bébés et qui organise des veillées aux chandelles pour des tueurs en série », le meilleur du second degré selon moi.

Au niveau du dessin, c’est un plaisir de retrouver un John Romita.Jr en grande forme avec un dessin qui peut sembler « gentillet » et où pourtant l’ultra violence s’invite.

Contrairement au film on note des petites différences, pas de happy end, l’origine réelle de Big Daddy est « rebootée » et sur la relation amoureuse du héros, c’est bien différent.

 

Pour ceux qui pensent que les comics ça peut être autre chose que Spiderman et Batman, jetez-vous sur cette merveille.

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13 février 2011 7 13 /02 /février /2011 20:19

http://a.imdoc.fr/1/cinema-television/posters-affiches-cinema/photo/996880996/18344209076/posters-affiches-cinema-ps-love-you-img.jpg

 

Date de sortie cinéma : 6 février 2008

 

Réalisé par Richard Lagravenese

Avec Hilary Swank, Gerard Butler, Lisa Kudrow, …

 

Synopsis : Holly et Jerry sont un couple amoureux menant une vie parfaite. À la suite de la moirt soudaine de Jerry, Holly sombre dans une dépression. C’est alors qu’elle reçoit une lettre, la première d’une série de dix, rédigées par Jerry avant sa mort. Ces lettres, agencées tel un jeu de piste, lui donnent des instructions ces choses à faire pour, à terme, tourner la page et enfin réapprendre à vivre.

 

Allociné Note Presse : 2,4/5 : Allociné Note Spectateurs : 3,6/5 (3893 notes)

 

Ma critique : nullnull

 

L’idée de départ est très bonne : avant de mourir d’une tumeur au cerveau, un homme écrit des lettres pour aider sa femme à réapprendre à vivre. Malheureusement, je n’ai pas trouvé que le film était à la hauteur de cette idée.

Tout d’abord, s’il vous plaît, si vous ne connaissez pas Hilary Swank, ne vous fiez pas à ce film et dépêchez-vous de regarder Million Dollar Baby.

J’ai trouvé sa prestation ici peu convaincante tout comme celle de  Gerard Butler, qui a, pour ma part, surjoué tout au long du film. Lisa Kudrow tient son rôle sans être spécialement persuasive.

Une histoire d'amour est jolie par ses détails, ses failles et ici tout est dans l’excès.

On compte également beaucoup de clichés qui entachent le film.

 

Un film divertissant, avec une très bonne idée de départ, mais qui se révèle finalement ennuyeux. Je pense me pencher sur le livre qui doit être, je l'espère, plus saisissant.

 

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12 février 2011 6 12 /02 /février /2011 00:37

 

Date de sortie cinéma : 9 février 2011

 

Réalisé par Darren Aronofsky

Avec Natalie Portman, Mila Kunis, Vincent Cassel, …

 

Synopsis : Rivalités dans la troupe du New York Ballet. Nina est prête à tout pour obtenir le rôle principal du Lac des cygnes que dirige l’ambigu Thomas. Mais, elle se trouve bientôt confrontée à la belle et sensuelle nouvelle recrue, Lily…

 

Allociné Note Presse : 4,1/5 ; Allociné Note Spectateurs : 4,3/5 (1559 notes)

 

Ma critique : nullnullnullnullnull

 

Je vous avoue avoir du mal à commenter ce film tellement il m’a époustouflée.
Je trouve, en effet, que Black Swan est un véritable petit bijou. J’en suis ressortie véritablement bouleversée et fascinée par la beauté de ce film.

Natalie Portman incarne avec une grâce intense cette danseuse candide, qui petit à petit va sombrer dans la folie. Je l’ai trouvée réellement bluffante. Elle y trouve sûrement le plus grand rôle de sa carrière. Je l’ai trouvé particulièrement saisissante dans les dernières minutes du film. La dernière fois qu’une actrice m’avait autant marquée, c’était Nicole Kidman dans Moulin Rouge et bien Natalie Portman réussit également cette performance.

Le film aborde avec une grande réussite des thèmes tels que le dépassement de soi, la folie ou encore la dualité entre le mal et le bien.

Les seconds rôles sont également très convaincants avec Mila Kunis qui se révèle et Vincent Cassel charismatique en chorégraphe séducteur.

Le talent de Natalie Portman ne peut qu’être récompensé par l’Oscar de la meilleure actrice lors de la prochaine cérémonie.

 

Poignant, saisissant, Black Swan a le potentiel pour être LE film de l’année 2011…

 

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 20:44

 

Nouvelle série chez Marvel ou plutôt chez Panini Comics dont le principal intérêt est d’avoir une histoire complète de supers héros au prix tarif attractif de 5,60 euros.

Le premier personnage à s’y coller n’est qu’autre la méga sexy Elektra et la bonne surprise c’est qu’elle est en grande forme. Pas au début car après qu’un skrull a usurpé son identité elle doit se refaire une place, ce qui difficile quand on est kidnappé par le H.A.M.M.E.R. et que l’on a un contrat sur un nom.

L’histoire est bien rythmée et surtout quel plaisir de revoir cette badgirl faire mordre la poussière à ces adversaires, d’autant qu’elle autant de dialogue que Sylvester Stallone dans « John Rambo »…

 

Concept difficile pour un héros et encore plus pour une héroine, c’est un retour gagnant qui j’espère mettra plus avant cette héroïne que j’adore.

 

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 20:02

http://www.filmosphere.com/wp-content/uploads/2011/01/le-discours-dun-roi-affiche.jpg

 

Date de sortie cinéma : 2 février 2011

  

Réalisé par Tom Hooper

Avec Colin Firth, Helena Bonham Carter, Geoffrey Rush, …

 

Synopsis : D’après l’histoire vraie et méconnue du père de l’actuelle reine Elisabeth, qui va devenir, contraint et forcé, le Roi George VI (Colin Firth), suite à l’abdication de son frère Edouard VIII (Guy Pearce). D’apparence fragile, incapable de s’exprimer en public, considéré par certains comme inapte à la fonction, George VI tentera de surmonter son handicap grâce au soutien indéfectible de sa femme et d’affronter ses peurs avec l’aide d’un thérapeute du langage aux méthodes peu conventionnelles. Il devra vaincre son bégaiement pour assumer pleinement son rôle, et faire de son empire le premier rempart contre l’Allemagne nazie.

 

Allociné Note Presse : 4/5 ; Allociné Note Spectateurs : 4,2/5 (598 notes)

 

Critique de Nana : nullnullnullnullnull

 

En ce début d’année 2011, deux films ont reçu des critiques élogieuses : Black Swan et Le discours d’un Roi et pour l’instant je suis en accord avec ces dernières.

Le discours d’un Roi est un film d’une très belle sobriété. J’ai été bouleversée par l’histoire de cet homme, contraint à devenir roi et qui se trouve devant l'obligation de lutter contre son bégaiement. Colin Firth incarne ce roi avec une grâce absolue. J’aimais déjà beaucoup cet acteur dans des films comme Love Actually ou Bridget Jones, mais là, il a trouvé le rôle qui lui permet de briller. Je souhaite évidemment qu’il décroche l’Oscar du meilleur acteur lors de la prochaine cérémonie. Quand on a un tel talent, cela devient une évidence.

Les autres acteurs tels que Geoffrey Rush en ami fidèle et Helena Bonham Carter en femme aimante sont également excellents.

J’avoue ne pas avoir décroché une seule minute au cours de ce film. J’ai d’ailleurs été tellement captivée que je retenais mon souffle à chaque mot prononçé par le roi lors de son discours final.

 

Un film émouvant, sobre et juste servi par un Colin Firth au sommet !

 

Critique de Ryo : nullnullnullnull

 

Voici un film qui croule actuellement sur les nominations des plus prestigieuses, cérémonies comme les oscars et la BAFA, et surtout qui arrive actuellement dans nos salles, ma curiosité grandissante me pousse donc à terminer dans une salle obscure avec le ticket de cinéma dans la poche.

La première image annonce la couleur du film « produit par les frères Weinsteins ».

Who are the Weinstein’s brother ? Ils sont le symbole de la puissance des producteurs au cinéma pour le meilleur et pour le pire. Ils culminent les  gros succès et les mauvaises critiques : ils sont capables de mettre une telle pression qui font de « Skeaspeare in love », une réussite qu’à la cérémonie aux oscars et de réduire de deux heures le film « Gang of the New York » afin d’être présentable aux oscars.

Le film est à l’image des autres films produits par les frères Weinsteins, une histoire ultra académique : sobre, où chaque spectateur peut se retrouver dans les valeurs du héros, un peu d’humour, une belle reconstitution historique, de bons acteurs qui trouvent la plupart du temps un de leurs rôles clés, un doux anticonformisme… telle est la recette efficace de ce genre de film.

Mais le film est par moment plus que cela, car le film met en lumière une magnifique histoire de courage, d’un homme qui ose vaincre ses problèmes, ses démons intérieurs, pour son salut et un salut plus grand.

Le courage étant une denrée si rare, une leçon de courage sincère est plus que jamais nécessaire.

Mais voilà à l’inverse de films tels que « La liste de Schindler » et « Des hommes et des dieux » et à l’instar d’« Un homme d’exception », la leçon de courage n’aboutit pas à mon grand regret à une leçon de cinéma. Ce qui me mettra dans le camp des déçu si ce film gagne, lors de la prochaine cérémonie,  l’oscar du meilleur film.

 

[« Un homme d’exception » + « the Queen » = « Le discours d’un roi »]

 

 

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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 21:47

 

Ma critique : nullnullnull

 

Je ne sais pas si je me lasse des séries policières ou si ces dernières baissent de qualité au fur et à mesure des saisons (ou peut être les deux).

Tout comme Esprits Criminels, j’ai trouvé cette saison 4 de FBI portés Disparus plutôt fade.

Plusieurs éléments m’ont réellement dérangée lors de cette saison. Bien sûr, comme dans toutes séries policières, les saisons sont assez répétitives. Il n’est pas évident pour une série policière de se renouveler, pour cela il faut également jouer sur les relations entre les personnages principaux et justement il y a quelque chose que je n’ai pas saisi.

En effet, au cours de la saison 3, Samantha entretient une liaison avec Martin et là, d’un coup, dans cette saison, on n’en n’entend pas plus parler que cela. Même si on peut trouver quelques sous-entendus, j’ai l’impression que cette relation a totalement été mise de côté et c’est regrettable aussi bien pour la cohérence de la série que pour son intérêt.

Par contre, la série tente tout de même de se renouveler avec : l’apparition d’un nouveau personnage  prometteur, Elena Delgado (Roselyn Sanchez) ; une nouvelle relation amoureuse pour Jack Malone et les problèmes de dépendance de Martin.

La bande son de la série est toujours d’aussi bonne qualité et certains épisodes sont très bien pensés, comme l’épisode 8, intitulé « De l’autre côté » où l’on voit l’enquête du FBI avec les yeux de la famille du disparu. De plus, le dernier épisode se termine sur une nouvelle des plus prometteuses pour la série.

 

FBI Portés Disparus reste une série très agréable à regarder, mais comme toutes séries policières, elle devient répétitive au fil des saisons.

 

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