Je m’appelle Asami… Je suis une étudiante de 17 ans. Personne ne le sait, mais … En fait, je suis mariée.
Ma critique :
Dans le parcours initiatique d’un bon geek qui se respecte se pose la question du « hentai » c’est-à-dire la fameuse partie immersible des détracteurs des mangas où se concentre un maximum d’images à caractère érotique voir pornographique.
Moi-même profane de ce genre, je n’ai encore rien trouvé de vraiment croustillant dans ce sous genre et ce n’est pas encore le cas avec le manga « Ma femme est étudiante ».
Ce manga n’a vraiment rien de pornographique, il est plus du style « coquin » et sa particularité est qu’il s’agit de l’œuvre d’une mangaka : Hiyoko Kobayashi.
Le gros point fort, ce sont les illustrations : l’héroïne est à la fois mignonne et sexy et ses tenues sont vraiment attrayantes ; d’autant plus que les ¾ de ce volume est en couleur.
Côté scénario, il est très mince mais on est loin du portnawak de « Step up love story » dans le même genre.
On y voit tous les clichés du manga fripon : une héroïne ayant un corps à se damner et qui doute de ses charmes et les stigmates du protagoniste masculin : voyeurisme dans la salle de bain, saignement de nez, la chute qui amène à une superbe vue plongeante sur la femme.
Il faut rentrer dans le délire mais le délire est sympa.
Un manga gentiment coquin qui se lit sans bouder son plaisir.