Le monde de Narnia : Chapitre 1 - le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique

Date de sortie : 21 Décembre 2005

Réalisé par Andrew Adamson

Avec Georgie Henley, Skandar Keynes, Anna Popplewell, …

Synopsis : Le Monde de Narnia : chapitre 1 conte la lutte entre le bien et le mal qui oppose le magnifique lion Aslan aux forces des ténèbres dans le monde magique de Narnia. Grâce à ses sombres pouvoirs, la Sorcière Blanche a plongé Narnia dans un hiver qui dure depuis un siècle, mais une prédiction révèle que quatre enfants aideront Aslan à rompre la malédiction. Lorsque Lucy, Susan, Edmund et Peter Pevensie, quatre frères et sœurs, découvrent ce monde enchanté en y pénétrant à travers une armoire, tout est en place pour une bataille de proportions épiques...

Allociné Note Presse : 3,5/5 ; Allociné Note Spectateurs : 3,2/5 (18 449 notes)

Ma critique : 

Après le succès du Seigneur des anneaux, Hollywood a compris qu'il pouvait remettre l’ « Héroic-Fantasy » dans les salles. Pour cela une bonne histoire, on ne se complique pas la tache on prend une œuvre déjà connue, dans ce cas ci, celle C.W.Lewis, et un bon budget comme c’est produit par Walt Disney là aussi on assure nos arrières.

Même si on tombe sur un peu plus d’une décennie de films destinés aussi aux enfants, rare sont ceux qui sont également plaisants pour les adultes, intéressant et surtout invite à l’imaginaire.

C’est surtout un film sur la foi en l’imaginaire qui en période trouble permet à l’individu de révéler ses qualités humaines tout en faisant acte de solidarité face à l’adversité, sujet plus que d’actualité à mon humble avis.

Il est aussi question de la Foi, dans ce film en effet C.W Lewis n’a jamais caché qu'il était un fervent croyant, et bien sur son conte raconte la lutte entre le bien et le mal, Aslan peut être considéré comme Dieu et la Sorcière Blanche comme le diable. C était également le cas de Tolkien et pourtant on a su détacher l’œuvre de cette idéologie, il faut reconnaître que le genre a été construit sur ses bases littéraires.

Ayant vu les trois volets, il est sympathique de revoir ses héros nettement plus jeune et surtout de voir que Disney avait mis bien plus d’argent dans le premier que le dernier volet.

N’ayant jamais été vraiment mordu par la saga Harry Potter, celle -ci a le mérite de me réconcilier cinématographiquement avec le monde de l’enfance (ce n’est pas gagné avec moi).

Le Monde de Narnia reste une bonne initiation au genre «  Héroic-Fantasy » pour tous les profanes.